dimanche 21 août 2011

10 - Le chinois (suite et fin)

La petite serveuse aussi a l'air de prendre son pied maintenant. Elle gigote sur la main de son patron. Elle a déboutonné son chemisier blanc et ses petits seins sont à l'air. Elle se pince les tétons et gémit doucement. Le patron, lui, se fait toujours pomper par Cathy mais à présent sa bite est raide et dure. Excité par son employée, il sort d'un coup de la bouche qui le suçait et attrape la petite par la taille. Il la place en face de Cathy les mains sur le dossier de la chaise, puis il enlève la petite culotte de coton blanc, lui fait écarter les jambes et promène sa queue sur cette jeune fente qui commence à mouiller. La petite respire vite, autant intimidée qu'excitée, elle attend la pénétration. Alors le patron lui enfonce sa queue et elle pousse un petit cri. Elle se penche en avant sur le dossier pour bien laisser pénétrer la bite en elle et sa tête se trouve à côté de celle de Cathy. Les deux petites nanas se regardent, complices. Elles semblent se dire : " elle est bonne ta bite ? " " oui elle est bonne, et la tienne ? " et puis, poussées par un même désir elles posent leurs lèvres l'une contre l'autre et commencent un long baiser langoureux. Ces filles sont merveilleuses ! Des hommes sont en train de les posséder et elles se passent des langues amoureuses.
Excité par le tableau, je ne peux m'empêcher de décharger tout au fond du con qui m'accueillait. Madame était en plein ciel. Elle se retourne et me fait : " déjà ? " Alors pour ne pas la laisser insatisfaite je me retire d'elle et avant qu'elle n'ait eu le temps de bouger, j'introduis trois doigts et commence à lui fouiller la moule. Madame semble satisfaite et murmure : " oui ... encore. " Sa chatte est grande ouverte et je nage dans mon sperme. Je décide de tenter un quatrième doigt, elle est lubrifiée à souhait. Le quatrième doigt entre sans problème. Je pousse à fond, les quatre doigts on disparu dans la fente. La dame tortille du cul en gémissant. Maintenant elle a posé sa tête sur le cuir de la banquette et s'écarte les fesses avec ses deux mains en me disant : " vas-y, rentre tout , " Oh putain, j'ai jamais fait ça ! Je rentre mon pouce au milieu des autres doigts et je pousse la main entière en la tournant légèrement pour écarter les parois. 
La femme tire sur ses cuisses, pousse sur sa chatte en râlant. Les autres nous regardent maintenant. Son mari, baisant toujours ma Cathy, l'encourage : " vas-y chérie, tu vas y arriver. " Je pousse encore en tortillant ma main qui se fraye un passage entre les chairs et finalement disparaît au fond du trou, entièrement avalée. Je n'en crois pas mes yeux : ma main est tout entière dans la chatte de cette femme. J'avance encore un peu et je rentre le début de l'avant bras. Je sens l'intérieur de son ventre sous mes doigts, les parois humides et plissées du vagin, je sens le col de l'utérus au fond. je sors ma main, je la rentre à nouveau, la ressors, la replonge dans des bruits de marécage. La chatte est complètement distendue. Je ferme le poing et commence à la bourrer sans retenue. La femme râle de plus en plus fort, elle s'est introduit deux doigts dans l'anus et se branle le cul à toute vitesse, puis elle s'exclame : " quelqu'un dans mon cul ... vite ! " le mari abandonne Cathy et se précipite sur sa femme. Il grimpe sur la banquette, se positionne au dessus de son cul et enfourne d'un coup sa bite jusqu'au fond. A cette pénétration, la femme jouit de tout son corps. Elle tremble de partout, ma main est trempée dans son sexe. Son mari continue de l'enculer et je sens sa bite contre mon poing. J'ouvre ma main à l'intérieur du vagin et je la tourne vers le haut. Je sens la queue me taper au bout des doigts. La bourgeoise se met à pleurer. De longs sanglots s'échappent d'elle. Je pense qu'elle vient de jouir comme jamais de sa vie. Son mari continue de l'enculer, moi je retire ma main et vais vers sa tête. Je caresse son dos et dépose un baiser sur sa joue. Lorsque son mari a fini par jouir au fond de son cul, elle s'effondre sur la banquette, anéantie.
Pendant ce temps-là il s'était passé des choses derrière nous. Cathy est entièrement nue maintenant et penchée en avant sur la table, elle offre ses fesses au patron qui lui lime la chatte. La petite est à côté d'elle, elle vient de ramasser une baguette sur la table et elle est en train de lui introduire dans l'anus. Cathy rigole à cette intrusion. Le patron rigole aussi. Tout en continuant à baiser, il parle en chinois et la serveuse ramasse d'autres baguettes qu'elle introduit aussi délicatement que possible pour ne pas faire mal. Cathy a maintenant six ou sept baguettes dans le cul, enfoncées d'une dizaine de centimètres et la queue du patron dans la chatte. Mais celui-ci se retire brusquement, au grand désarroi de Cathy, il lance encore quelques mots à la serveuse, remet son sexe dans son pantalon et sort en courant. La petite débarrasse notre table et secoue la nappe blanche. Cathy attend avec ses baguettes toujours fichées dans l'oignon. Le patron revient en refermant bien la porte derrière lui. Il a un gros paquet de baguettes dans les mains. Il  fait monter Cathy sur la table, à genou, les fesses en l'air puis assisté de sa serveuse, il commence à enfoncer les baguettes une à une. Il faut les enfiler par le milieu du fagot pour ne pas blesser l'anus et ça permet de tendre très progressivement le muscle anal. 
Je suis curieux de savoir combien Cathy peut accepter de ces baguettes. Le monsieur bourge fait le compte, on en est à dix-sept. Je m'approche de la serveuse, passe la main sous sa jupe et caresse ses fesses pendant qu'elle continue d'enfoncer les baguettes. La dame émerge de sa banquette. Elle se trouve nez à nez avec la tête de Cathy, alors elle s'assied en face d'elle et lui lèche le visage. Le monsieur compte vingt-cinq. C'est la taille d'une belle bite. A ce moment la porte s'ouvre. C'est le serveur qui doit s'impatienter. On le regarde tous. Il découvre le tableau : il a en face de lui le cul de ma nana que son patron et sa collègue bourrent de baguettes chinoises. Il ne peut retenir un cri d'étonnement, pas très fort mais suffisant pour rameuter les autres serveurs et puis des clients qui se précipitent. On entend des rires, des exclamations, des réflexions. Des gens entrent dans la salle, d'autres s'en vont, indignés. Il y a maintenant une trentaine de personne. Alors on  saisi Cathy par les cuisses, par les bras, on la soulève de table avec son paquet toujours dans le fion, on pousse les tables et on l'installe dans la même position par terre, au milieu de la salle. Les gens se mettent en cercle pour assister au spectacle. Cathy jubile. Tous ces gens pour l'admirer ! Elle tend encore plus sont petit cul et ronronne comme une chatte. Le monsieur annonce trente-huit, quarante-deux, quarante-neuf. Cathy gémit, ça doit commencer à tirer un peu. La petite chinoise s'est agenouillée derrière les fesses de Cathy pour continuer son travail alors je caresse sa fente en regardant le cul de ma copine avaler toutes ces tiges. C'est un beau fagot qui lui sort du cul maintenant. Je rentre un doigt dans la chatte de la petite qui est toute mouillée. Cinquante-sept, les gens applaudissent. Cathy souffle, elle commence à avoir mal. Le patron continue, il masse en même temps le muscle tout autour du fagot pour le détendre. Soixante-deux, ça doit bien faire dans les cinq centimètres de diamètre. La serveuse arrête le jeu. Elle va à la tête de Cathy se met à genoux devant elle et elles recommencent à s'embrasser langoureusement. Ensuite la petite dans cette position tourne la tête vers moi, soulève sa jupe et me tend ses fesses. Je ne résiste pas à l'invitation, je la pénètre en douceur.
 Autour de nous des hommes ont sorti leur sexe et se masturbent, des femmes se pétrissent les seins, certaines ont des mains d'hommes dans leur culotte. Soixante-six. Cathy commence à souffrir. Elle se tient maintenant les fesses à deux mains, la tête posée sur le lino, elle s'écarte au maximum. Elle entend autour d'elle : " poussez ... poussez ! " Je ne sais pas si ces encouragements s'adressent au patron ou à Cathy. Je continue de baiser la petite chinoise. Elle a retiré son chemisier et remonté son buste contre moi. Je masse ses petits seins pointus. Elle se cambre et se met à bouger elle-même sur ma queue en gémissant d'une petite voix fluette. Soixante et onze, Cathy souffle en serrant les dents. Des gens se sont approchés d'elle. On la caresse, on lui tient les mains, on lui écarte les fesses, une jeune femme est même en train de lui masser le clitoris par en-dessous. Le patron bouge le fagot dans le trou pour continuer de détendre, et il continue d'enfoncer. Soixante-quatorze, un type ne tient plus, il éjacule sur le dos de Cathy. Soixante-quinze, ma petite chinoise s'est remise en levrette. Elle pose des baisers sur la joue de Cathy, dans son cou, sur ses lèvres. Ma parole, cette fille est amoureuse de ma nana. Je salive dans mes doigts et commence à lui masser son petit trou. Elle frémit. Soixante-seize. Je pousse un doigt à l'intérieur de l'anus. La petite pousse un petit cri de surprise. Soixante-dix-sept. Je dilate le petit anus devant moi. Soixante-dix-huit. Je sors ma queue toute mouillée de la jeune chatte et j'appuie mon gland sur l'anus. Elle me dit :
- S'il vous plait, non, je ne l'ai jamais fait par là !
- N'aies pas peur je vais faire doucement
- Non, s'il vous plait !
Soixante-dix-neuf. Je pousse tout doucement en massant l'anus du bout du gland. J'entends Cathy qui râle : " ça fait mal ! " Quatre-vingt. Je pousse fort, le gland entre, la chinoise crie et veut s'échapper, mais je la tiens ferme par les hanches et je continue de pousser. Quatre-vingt-un. Cathy et la chinoise ont la tête sur le lino toutes les deux. Leurs bouches se frôlent et elles râlent ensemble. Quatre-vingt-deux. J'enfonce tout doucement ma bite jusqu'au bout en donnant des petits à-coups, la petite pousse un long cri et je commence à la sodomiser pendant qu'un autre mec lâche sa purée sur les reins de Cathy. Quatre-vingt-trois, Cathy n'en peut plus. Elle supplie qu'on arrête :
- Enlevez-les, ça fait trop mal !
Mais le patron répond :
- Attendez, pas tout de suite.
Il part en courant et revient quelques instant plus tard avec un appareil photo. Il commence à immortaliser l'exploit. Cathy fait sa star et prend des poses devant l'objectif, oubliant presque sa douleur. Montrant son cul à tout le monde, elle le tourne enfin vers moi, fièrement pour me faire admirer le résultat. Hommes et femmes regardent la scène en se masturbant : ma Cathy toute nue par terre, les fesses en l'air avec quatre-vingt-trois baguettes de bois enfoncées dans le cul.
Moi je suis toujours dans celui de ma petite asiate et je la sodomise tout doucement, lentement, presque affectueusement. C'est un régal. Je sens son anus étroit me serrer la verge. Le plaisir de se savoir le premier. La petite a toujours la tête au sol et a fermé les yeux. Ses mains sont entre ses cuisses et elle se touche délicatement le clitoris. Elle murmure des petits mots en chinois. Elle a l'air de prendre goût à ce que je lui fait.
Le patron a fini de mitrailler. Pendant qu'un autre monsieur tient les fesses de Cathy écartées, il empoigne le fagot de baguettes et tire dessus doucement.
- Poussez !
On se croirait dans une salle d'accouchement. Ma nana est en train d'accoucher par le cul d'un énorme bout de bois. Si c'est un garçon on l'appellera Pinocchio !
Cathy pousse un bon coup et le fagot jaillis de son cul. C'est énorme. Elle a un cratère entre les fesses. 
Les femmes écarquillent les yeux, incrédules, les hommes s'excitent, tout le monde veut aller gicler dans ce trou béant. Il faut faire vite avant que l'anus ne se referme. Cathy se prête au jeu, elle colle sa tête par terre et monte ses fesses au maximum, son anus est quasiment à la verticale. Le monsieur lui tient toujours bien écartelé, et les premières giclées commencent à arriver. Le sperme lui entre dans le rectum. Les hommes se bousculent, chacun veut sa part, les femmes contemplent en se masturbant. Des grappes d'hommes giclent tour à tour. Ça entre dans les entrailles, ça dégouline, ça gicle sur les fesses pour s'écouler lentement dans le trou. Quelqu'un a mis quatre doigts pour écarteler l'anus qui voulait se refermer et on continue de gicler dedans. Cathy râle de bonheur en se masturbant le clitoris. Tous ces hommes qui éjaculent dans ses entrailles sans la toucher. Je crois qu'elle est en train de jouir. Le patron vient éjaculer à son tour, il est le dernier. Ensuite hommes et femmes veulent profiter encore, avant que le muscle ne se referme. On vient toucher, on enfonce des doigts, on malaxe, on tripote. Cathy se laisse faire, elle est heureuse, son anus se referme sur des litres de foutre qu'elle veut garder en elle.
Ma petite chinoise et moi avons contemplé la scène, toujours emboîtés l'un dans l'autre. Je la relève contre moi pour encore caresser ses seins. Elle gémit doucement, se donne à moi. Elle se cambre et accroche ses mains à mon cou, par derrière. Je caresse sa poitrine, je pince ses tétons, je passe mes doigts dans son pubis soyeux comme ses cheveux, je masse son clitoris, elle ondule à mon rythme, s'empalant sur ma queue. Je l'embrasse dans le cou et je chuchote à son oreille : " tu es merveilleuse. " Elle se met à pousser des petits cris et nous jouissons tous les deux sur le sol, sous le regard de tous les autres.


En rentrant à la maison je me demande si le restaurant était vraiment chinois ou plutôt japonais ou vietnamien. On arrive dans le parc qu'on avait traversé à l'aller. Cathy me glisse à l'oreille :
- Ça me coule sur les cuisses.

samedi 13 août 2011

9 - Le chinois (1ère partie)

Ce soir on se paye un restau. Cet après-midi j'ai réservé dans un " chinois " au centre ville et nous nous y rendons à pied Cathy et moi.
Cathy a mis sa robe moulante noire, des collants noirs. Elle a maquillé ses jolis yeux verts et mis du rouge sur ses lèvres. J'aime cette fille. Elle a toujours un air de malice au fond des yeux et sur le plan sexuel on s'entend à merveille.
Pour aller en ville depuis chez nous, il faut traverser un parc. A cette heure-ci les enfants l'ont déserté et seuls quelques promeneurs se font apercevoir de temps à autre.
Je tiens la main de Cathy, j'ai croisé mes doigts avec les siens et je suis entièrement à ma rêverie lorsque je l’entends dire :
- viens, j'ai une petite envie !
Là-dessus elle m'entraîne derrière un buisson, jette des regards alentours et colle sa bouche contre la mienne. Nos langues se cherchent, se touchent, s'enroulent dans un long baiser langoureux.
Soudain je sens quelque chose contre ma braguette. La main de Cathy est descendue jusque là et elle masse mon sexe à travers l'épais tissu du jean. Je la laisse faire, c'est très agréable. Et puis la main ne caresse plus, elle ouvre la braguette et entre dans mon slip. Là je commence à m'inquiéter et sans rompre notre baiser, mes yeux inspectent les environs. Mais je sens la main de Cathy sur mon sexe et mes réticences commencent à s'éloigner. La main de Cathy est douce et chaude, elle caresse ma verge qui commence à gonfler sérieusement. Je soupire dans sa bouche et ça l'excite encore plus. Soudain elle m'échappe complètement. Elle s'est laissé tomber à genoux et entreprend de sortir mon sexe entièrement durci de sa prison de tissu, puis elle l'approche de ses lèvres et pose des baiser sur le bout de mon gland. Je bredouille :
- Non, quelqu'un pourrait venir ... arrête ... on n'a pas le temps ...
Mais je n'y crois pas moi-même et Cathy continue.
J'ai fermé les yeux et je sens maintenant sa langue se promener sur mon gland. Je sens ses lèvres à présent autour de ma hampe. 
Ma bite presque entière est dans le chaud et le mouillé, j'entends des petits bruits de succion et Cathy suce et suce toujours. Cette fille est un démon. Je l'adore.
- Attention ! Voilà quelqu'un !
J'ouvre les yeux, la chute est brutale. Cathy s'est relevée en rigolant et moi je me rajuste en vitesse. Puis nous sortons de notre cachette devant un couple de vieux et nous reprenons le chemin du restaurant.

Au restaurant la première salle est déjà pleine. Une serveuse, petite et menue, type asiatique, nous amène alors dans la petite salle du fond où il y a déjà un couple attablé. Elle nous place dans un coin, à côté des gens. C'est une table à quatre places avec une banquette d'un côté et deux chaises de l'autre. Les tables sont séparées par des paravents aux motifs asiatiques. Je me place sur la banquette, contre le mur et Cathy s'installe sur une chaise, dos à la salle. Nous demandons un apéritif et passons notre commande.
Le serveur, asiatique aussi, comme il se doit, est en train de poser les apéritifs sur notre table lorsque je sens quelque chose entre mes jambes. Cathy avançait son pied sur ma chaise et tâtait mon entrejambe du bout de ses orteils. Je regarde Cathy, un bout de langue sort de sa bouche et caresse sa lèvre supérieure. Sa main droite a disparu sous la table et je me doute de ce qu'elle peut faire en ce moment. Le garçon  finit de nous servir et s'en va. Il ne s'est aperçu de rien, ou du moins l'a-t-il laissé supposer.
Je jette un coup d'œil sous la table. La main de Cathy est bien là où je pensais : entre ses cuisses. Elle masse sa minette à travers les fins tissus. Puis je vois la main écarter le collant, entrer dans la culotte de nylon et je devine les doigts massant le clitoris. 
Je remonte à la surface au moment où le serveur apporte les entrées. La main de Cathy ne remonte pas. Elle continue sa caresse pendant que le jeune homme nous sert. Je n'arrive pas à y croire. Cette fille est en train de se masturber sous la table en plein restaurant, à côté du serveur !
Le garçon s'en va et nous commençons à manger. La main de Cathy est toujours sous la table et elle me regarde de ses beaux yeux verts en poussant des soupirs de plaisir. Ça m'excite terriblement, d'autant que son pied est toujours entre mes jambes et me masse le sexe. J'imagine, pendant qu'elle me regarde, ses doigts dans sa fente, sur son clitoris, peut-être même dans sa chatte. Au moment où j'imaginais cela, Cathy sort sa main de sous la table et la tend vers moi, le majeur pointé vers mes lèvres. Je sens son doigt : il a l'odeur de son sexe, alors je le prends dans ma bouche et le suce goulûment. Cathy retourne ce doigt humecté vers sa fente et reprend sa caresse. Et puis elle doit trouver que ce n'est pas assez. Elle avise la salière, posée au bord de la table. Une salière banale en verre avec un capuchon métallique et de forme conique, bien sûr. La salière disparaît sous la table et j'observe ma chérie. Elle me regarde avec un air de défi et tout à coup ses yeux s'écarquillent, sa bouche s'agrandit et elle fait un petit : " ah ! " je sais que l'objet est introduit. C'est à ce moment que le serveur apporte la suite. Il ne remarque pas la disparition de la salière. S'il savait le pauvre où elle se trouve sa salière en ce moment ! Dès qu'il est sorti Cathy reprend ses occupations. Je devine l'objet entrant et sortant de sa chatte, j'aimerais être à la place de cette salière. Cathy commence à souffler un peu fort. Elle se laisse aller à son plaisir, elle continue de se masturber sans se préoccuper du reste, et puis elle lâche un petit cri. A ce moment, deux têtes apparaissent de chaque côté du paravent. Ce sont nos voisins de table. Au bout d'un court instant d'hésitation, ayant compris la situation, monsieur demande, coquin :
- On peut vous aider ?
Avant que j’aie eu le temps de répondre quoi que ce soit, Cathy s'exclame :
- Oh oui ! C’est gentil !
Je suis sidéré.
Les gens se lèvent et nous rejoignent. Monsieur doit avoir la cinquantaine grisonnante et bedonnante, madame, dans les quarante-cinq, grassouillette avec une poitrine nourricière. Ils ont l'air un peu bourge, mais le genre à organiser des partouzes entre gens du monde.
Ils s'installent à notre table. Monsieur sur une chaise à côté de Cathy et madame sur la banquette à côté de moi. Monsieur ne perd pas de temps. Cette petite femelle en chaleur doit l'exciter à mort. Tu parles ! Il plonge la main sous la robe. Cathy retire son pied de ma chaise et écarte les cuisses pour accueillir le bonhomme. Le type a passé sa main dans le collant et la culotte pour atteindre la chatte. Il doit sentir le pubis doux et lisse comme une peau de bébé (Cathy s'est rasée de près ce matin) et en descendant plus bas pour toucher le sexe il doit trouver la salière à un endroit incongru pour un tel objet. Monsieur marque un petit temps de surprise, puis se fend d'un large sourire et je devine qu'il a pris la chose en main.
- Coquine, va !
Cathy se laisse faire, docile, les cuisses écartées, elle le regarde en souriant. Pendant ce temps madame a décidé de s'occuper de moi. Elle n'y va pas avec le dos de la cuillère. Elle a ouvert ma braguette et plongé sa main à l'intérieur. Elle me pétrit la queue et les couilles et je la sens de plus en plus excitée. Ma queue aussi d'ailleurs, qui commence à enfler entre les doigts experts de madame.
Le serveur entre à nouveau et tout le monde, instantanément, se rajuste en se donnant une contenance. Devant l'air surpris du garçon, nous expliquons que nous allons terminer le repas ensemble. Le jeune homme prend donc les couverts du couple et les place sur notre table. Dès qu'il est sorti, chacun reprend là où il en était avant l'interruption. Madame replonge sa main dans ma braguette et cette fois sort ma queue à l'air libre. Puis elle se précipite sous la table et je sens sa langue le long de ma hampe. Je bande à fond. Je pose mes mains sur la tête de cette femme que je ne connais pas et qui est en train de me sucer la bite. Je regarde en direction de Cathy. Elle tire de ses deux mains sur son collant et sa culotte et le type la branle toujours avec la salière. Elle a la tête renversée, les yeux fermés et le souffle rapide. Madame a pris ma bite dans sa bouche. Je me sens aspiré dans cette cavité tiède et mouillée. Je sens de la bave couler le long de ma verge, et sur mes testicules. Je tends ma main pour caresser les fesses de cette femme à moitié allongée sur la banquette. Dès qu'elle sent ma caresse, elle se positionne à genoux, le cul en l'air, tout en continuant de me pomper. Ses fesses sont dodues. Je soulève sa jupe et baisse sa culotte, puis j'explore son intimité. Sa chatte est broussailleuse et déjà toute mouillée. Je n'ai aucun mal à écarter ses lèvres intimes et à pousser un doigt à l'intérieur. La bourgeoise glousse avec toujours ma bite dans son gosier.
Ça bouge du côté de Cathy. Monsieur vient de reposer la salière sur la table et Cathy change de position. Elle se met à genoux sur sa chaise, les mains sur le dossier et tend ses fesses. Elle est complètement excitée. Monsieur relève la robe jusqu'à la ceinture, empoigne à deux mains le collant et la culotte et les descend jusqu'aux cuisses. Il profite un moment du spectacle de ce petit cul qui se tend vers lui. 
Il écarte les fesses, masse la vulve trempée de désir, caresse l'anus, puis il enfonce directement deux doigts et commence à branler la moule. Cathy gémit. J'ai la vision de son cul en face de moi et ça m'excite. Je plonge deux, puis trois doigts dans la chatte de madame qui glousse de plus en plus fort. Nous sommes tous dans un état d'excitation extrême, lorsque j'aperçois dans l'encadrement de la porte en face de moi, la silhouette de la petite serveuse qui nous avait placés en arrivant. Aussitôt elle fait demi-tour et s'enfuit en piaillant, pour revenir quelques instants après, suivie du patron des lieux. Le type reste médusé devant le tableau. C'est un petit homme trapu, petit ventre, d'une quarantaine d'année et l'air asiatique évidemment. Il reste planté quelques secondes puis éclate d'un rire jovial et s'avance vers nous. Il arrive tout de suite à la tête de Cathy, ouvre sa braguette, sort un sexe encore mou et l'introduit dans la bouche de ma copine qui ne demandait pas mieux. En même temps il lance quelques mots en chinois à la serveuse qui ferme la porte de la salle et s'avance vers nous, l'air éberlué. Pendant que ma Cathy suce la bite du chinois, le monsieur derrière elle se lève, descend son pantalon et approche son sexe durci de cette chatte qui lui tend les lèvres. Cathy sent le gland qui frappe à sa porte, elle se cambre davantage et le monsieur l'enfile d'un bon coup de reins.
Le patron lance à nouveau quelques mots à la serveuse qui s'approche de lui intimidée. Il soulève sa jupe plissée et introduit une main dans sa culotte, puis il masse doucement l’entrejambe. La petite se laisse faire. Elle est très jeune, dix-huit, dix-neuf ans tout au plus, et très jolie avec de longs cheveux noirs et lisses. Mon sexe est dur à éclater. Madame relève la tête vers moi et me demande gentiment :
- Baise-moi.
Je ne peux pas refuser une telle proposition. Je me lève et viens me placer sur la banquette, derrière elle. Elle n'a pas bougé de sa position : à genoux et ses grosses fesses en l'air. Je prends ma bite en main et je caresse sa vulve avec. Les poils de sa chatte sont trempés. Elle gémit en tortillant des fesses :
- Viens, viens vite !
Alors j'enfonce ma queue dans cette chatte impatiente et j'entends un léger : " oui " de satisfaction. Pendant que je la baise, la dame enlève son chemisier et son soutien-gorge. Maintenant ses seins pendent et balancent au rythme de mes coups de reins. Je m'allonge alors sur son dos et j'attrape ses mamelles à deux mains. Elles sont lourdes. Je les pétris en massant aussi les tétons. Ma bite s'active toujours en elle et elle commence à prendre son pied. Putain que cette femme est bonne !

dimanche 24 juillet 2011

8 - Au garage

Cathy et moi sommes au garage pour récupérer notre voiture qui était en réparation. Il y a deux mécanos qui s'affairent sous une bagnole et un jeune qui doit être apprenti et qui est en train de graisser des engrenages. On est devant le capot ouvert et le patron du garage nous explique les travaux qu'il a dû effectuer et le montant de la note à payer. Elle est un peu salée. Le patron n'arrête pas de reluquer ma nana du coin de l'œil et je comprends pourquoi : Cathy a posé son pied sur le pare choc et sa jupette laisse apercevoir son entrecuisse. Comme on essaye de négocier une remise, il nous lâche sur le ton de la plaisanterie :
- Ben, tout dépend de ce que j'y gagnerai.
Je le vois venir avec ses gros sabots, d'autant plus qu'il est en train de déshabiller Cathy du regard. Je réponds :
      - A ce prix là c'est pas une remise qu'il faut nous accorder, c'est la gratuité totale.
Le bonhomme tourne sa tête vers moi, il sait que j'ai compris son allusion et il semble surpris que je réagisse ainsi :
- Attention, ça va virer à la partouze, on va tous lui passer dessus.
- T'inquiète pas pour ça, elle a l'habitude.
Cathy me foudroie du regard, le bonhomme claque le capot de notre voiture en disant :
- Faut voir.
Cathy nous regarde l'un après l'autre, effarée d'être l'objet d'un marchandage. Le type avance la main et la pose sur une jambe. Cathy me regarde interloquée et la main remonte en direction de sa culotte blanche. Je demande :
- Alors ?
- C'est d'accord. On baise ta nana et je déchire la facture.
Les deux mécanos émergent de sous leur bagnole. Ils ont entendu la dernière phrase de leur patron et ils le voient en train de peloter l'entrejambe de Cathy. Tout le monde s'approche et le patron dit :
- Alex, va fermer la porte.
Alex c'est l'arpète, il va fermer le verrou de la porte et revient vers le groupe.
Les quatre mecs sont autour de Cathy et le patron a passé sa main dans la culotte. 
 Il tripote la chatte pendant que les autres commencent à s'agiter :
- On va se la faire, oh ! putain on va se la faire
- On va te baiser salope !
- Regardez, elle s'est rasé la minette !
- Hé ! doucement les mecs, rouspète Cathy en écartant les cuisses, on n'est pas aux pièces !
- Tiens Momo, touche un peu comme c'est doux.
- Hé ! mais elle mouille ! Regardez, elle est toute mouillée !
- Bien sûr que je mouille hé couillon ! t'as mis tes doigts dans ma chatte !
Je vais m'asseoir sur le capot d'une voiture pour assister au spectacle. Les mains se baladent. Elles entrent dans le chemisier, touchent les seins, défont les boutons, passent sous la jupe, descendent la culotte, caressent les fesses, la fente. Il ne faut pas longtemps pour que Cathy se retrouve entièrement nue. Sa peau, qui est très blanche, se trouve vite pleine de traces de cambouis : les mecs ont les mains très sales et ils la caressent toujours sur tout le corps. Elle a des empreintes de mains sur les seins, sur les fesses, des traces de doigts sur les cuisses, sur le bas-ventre. Je sors ma bite et je me caresse doucement. J'adore voir ma Cathy se faire baiser devant moi.
- on va t'en foutre plein la chatte !
Le patron l'a couchée sur le capot de notre voiture. Il lui écarte les cuisses et enfonce sa bite sans ménagement. Il la défonce à grands coups pendant que les deux mécanos la tiennent plaquée sur le métal froid.
- Alex, approche les outils, on va lui faire une petite révision.
Alors les mecs attrapent des pinces et se mettent à pincer les pointes de seins pendant que le patron bourre toujours la chatte. Alex prend une clé plate et titille le clitoris. Cathy se plaint :
- Hé ! doucement !
 Les mecs pincent fort et ses tétons lui font mal. Chacun leur tour ils viennent la baiser pendant que les autres s'amusent avec son corps. On lui pince les mamelons, on lui écrase le clitoris et puis le patron dit :
- Elle a besoin d'un graissage.
Alors ils étendent une bâche par terre et le patron met Cathy dessus, à quatre pattes et les fesses en l'air. Ensuite il attrape un pistolet à graisse. C'est un gros tube de vaseline avec un embout de plastique et un piston dedans qu'on actionne avec une poignée. Il pose l'embout sur l'anus de Cathy et lâche un peu de graisse.
- Je vais te graisser le fion.
Il étale la vaseline avec l'outil tout autour de la rondelle puis il enfonce directement l'embout dans le trou du cul et presse plusieurs fois sur la poignée. Il est en train d'envoyer une grande quantité de graisse dans le rectum de Cathy qui rouspète contre cette intrusion.
- Maintenant que t'es bien graissée, on va t'en foutre plein le cul.
- Attendez ! On va bien la préparer, dit Momo.
Et il attrape une clé à pipe qu'il introduit dans l'anus.
- Putain ! ça rentre comme dans du beurre !
- C'est pas la première fois que tu te fais enculer toi !
- Si vous saviez ce que je me suis déjà pris dans le cul, répond Cathy, c'est pas votre petite clé qui va m'envoyer au ciel !
- Oh ! putain, elle veut du plus gros ! Alex passe-moi le marteau !
Alex tend un marteau à Momo qui enduit le manche de vaseline et le présente sur l'orifice. Il pousse l'objet fermement. Cathy a posé ses mains sur ses fesses et les écarte pour aider à la pénétration. Au moment où le manche entre en elle, elle pousse un long râle de plaisir :
- Ah ! ça c'est déjà plus sérieux ! dit-elle.
Alors Momo imprime un mouvement circulaire au marteau pour bien fouiller les entrailles. Les autres mecs sont autour et ils caressent les fesses, les seins, le dos. Cathy est de plus en plus noire de cambouis. Elle gémit sous les caresses. Et puis soudain on la couche sur le côté. Elle est en chien de fusil sur la bâche, Momo continue de la sodomiser avec le marteau et le patron dit :
- Alex, graisse-la bien, je crois qu'elle aime ça.
Alors Alex prend le pistolet à graisse, pose l'embout sur un téton et presse la poignée. Un paquet de vaseline se répand sur le mamelon, puis il passe à l'autre sein puis dans le nombril, sur le pubis, il s'amuse à poser des paquets de graisse partout sur le corps de Cathy. Le patron et l'autre mécano se mettent à étendre toute cette graisse du bout des doigts et Cathy se laisse enduire. Elle leur tend ses petits seins, elle écarte même ses cuisses pour laisser passer la main d'Alex qui lui badigeonne le bas-ventre.
- Oh ! oui, foutez-m'en partout, salissez-moi ... souillez-moi !
Momo a retiré le marteau de son cul. Maintenant ils la tournent dans tous les sens pour finir de l'enduire de graisse. Ils lui en collent entre les cuisses, sur les fesses, sur les reins. Ils l'enduisent, la pétrissent, la malaxent dans une frénésie grandissante. Quand elle est bien enduite, ils la laissent un moment étendue sur le dos, les cuisses ouvertes, le temps d'enlever leurs fringues tous les quatre. 


Pendant qu'elle les attend, Cathy se tortille d'impatience. Elle a mis aussi ses mains dans la vaseline et se caresse tout le corps. Elle s'enfonce des doigts dans la chatte, dans l'anus et me regarde l'admirer :
- Tu te branles mon amour, tu aimes le spectacle ? tu vas voir, ils vont m'en foutre plein le cul.
J'adore, toute cette graisse semble l'exciter. Je me branle de plus en plus vite. Alex a fini le premier de se déshabiller. Il s'approche de Cathy, s'agenouille entre ses cuisses et approche son sexe. Il a un moment d'hésitation, impressionné par ce corps souillé de graisse et de cambouis. Mais Cathy lève son bassin, amène ses genoux sur sa poitrine, empoigne la queue du gamin et la positionne sur son anus :
- Vas-y petit, encule-moi !
Alex devient rouge de plaisir, c'est sans doute la première fois qu'il enculera une fille. Il saisit les cuisses de Cathy et pousse sur sa bite qui n'a aucun mal à entrer avec tout ce lubrifiant. Il bourre le cul pendant que les autres ont fini de se déshabiller. Cathy gémit de plaisir. Au bout d'un moment, n'en pouvant plus, Alex lâche sa semence au fond des intestins de Cathy qui hurle :
- Un autre, vite, je vais jouir !
Alors le patron prend la place de son arpète et se met à son tour à défoncer vigoureusement le cul de ma copine. Les autres ont recommencé à lui pétrir les seins et la chatte et Cathy ne peut s'empêcher de crier son bonheur :
- Je jouis ... ah ! vous me faites jouir !
Le patron s'affale sur Cathy, il se vautre sur ce corps souillé, il lui bourre le cul de coups puissants et rapides en râlant. Cathy hurle ses orgasmes, le gland de ce mec n'arrête pas de lui taper sur le colon. Le type va de plus en plus vite, on dirait un lapin sur sa lapine et puis il se met à gueuler fort et il envoie son foutre au fond du cul de Cathy qui l'accueille en le serrant très fort contre elle. Quand le mec se relève il est plein de vaseline sur tout le devant de son corps.
Cathy est épuisée, mais il reste encore deux mecs. Le second mécano s'allonge sur la bâche à côté d'elle et se tient la bite bien droite. Cathy a compris, elle se lève et vient  placer ses fesses au-dessus de la queue, tournant le dos au mec. Elle empoigne le membre dur et positionne le gland sur son anus distendu. Comme elle pousse un peu pour faire entrer la bite, on voit de la graisse et du foutre qui s'écoule de son trou du cul. Elle s'empale d'un coup sur le pieu et comme Momo est en face d'elle, elle s'allonge sur le mec et écarte ses cuisses en disant :
- Allez Momo, viens dans ma chatte.
Momo ne se le fait pas dire deux fois, il se place sur Cathy et lui enfonce sa queue pour une double pénétration. Cathy s'arc-boute sur ses pieds et ses mains qui sont posés par terre, ça permet au type de dessous d'avoir plus d'espace pour lui défoncer le cul. Les deux mecs la baisent en rythme. Quand l'un sort de la chatte l'autre s'enfonce dans le cul et réciproquement. Ce petit jeu plait beaucoup à Cathy qui grogne de plaisir. Et puis soudain Momo se retire de la chatte et positionne son gland un peu plus bas, sur son anus. Cathy le regarde dans les yeux, étonnée :
- Hé ! y'a déjà quelqu'un par-là !
- T'occupe ! y'a de la place pour deux !
Et il se met à pousser fort sur sa queue qui écartèle l'anus et fini par entrer à côté de celle du second mécano. 
 Cathy pousse un hurlement. Elle a deux bites dans le cul et visiblement ça semble douloureux. Les deux mecs la sodomisent en même temps. Momo s'amuse à sortir entièrement puis à rentrer d'un coup. Chaque pénétration arrache un cri à Cathy, mais je ne suis pas sûr que ça soit toujours de la douleur. Ma petite nana se laisse faire et semble en fait prendre un grand plaisir à cette nouvelle expérience. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, je descends de mon observatoire la bite à la main. Cathy hurle toujours. Je m'approche d'elle et lui mets mon sexe dans la bouche. Alex et le patron nous regardent, la queue pendante :
- Oh putain, elle a deux bites dans le cul !
- Et elle a l'air d'aimer ça cette petite pute !
Je passe ma main sur le corps graisseux de ma nana. C'est une drôle de sensation. Je caresse son bas-ventre dénué de poils, puis sa chatte pleine de vaseline, je touche son anus où s'engouffrent les deux bites, j'en fait le tour du bout des doigts pour mesurer l'élargissement et puis j'entre d'un coup trois doigts dans le vagin que je me mets à branler. Cathy suce toujours ma queue en gémissant. Au bout d'un moment le mécano du bas se met à gueuler, et Momo donne des coups plus violents et saccadés, ils sont en train de jouir dans le cul de ma copine. Moi je me sens venir à mon tour et je lâche mon sperme au fond de sa gorge.
Le patron nous tend un rouleau d'essuie tout en disant :
- Y'a une douche derrière le bureau.

En rentrant à la maison dans notre voiture, Cathy me dit :
- avec tout ce qu'ils m'ont mis, j'espère qu'ils nous feront jamais payer les vidanges.

********************************************************** 


A deux c'est mieux !








- Ch'est Chuper !
















- A ce tarif-là j'les prends tous les deux dans ma bouche !










- Quand vous aurez fini de faire mumuse avec vos doigts, vous me mettrez vos bites !













Une dans la bouche et une dans le cul












Version tourne-broche















Une dans la chatte et une dans le cul :
- Souris à la photo salope !
- Ferme-la p'tite bite et ramone-moi plus fort !











Une bite dans le cul et... un concombre dans la chatte !
- Hé couillon ! C'est pas parce que tu bandes plus qu'il faut me foutre n'importe quoi dans la chatte !














- Aïïïe ! On avait dit : chacun son tour !










Les joies de la coloc !
- Deux bites à domicile, c'est le pied, non ?



- Oui ben moi j'en ai plein le cul d'me faire baiser tous les jours par ces deux ploucs !




















- Il reste une petite place, ça vous tente ?












Et deux bites dans le cul !












- Je serre les dents parce que ça fait quand même un petit peu mal !











- Tu veux essayer d'en mettre une troisième ?











samedi 16 juillet 2011

7 - Les déménageurs

Je sors de la chambre au radar. On est samedi matin, je viens de me taper une grasse matinée royale et je me dirige vers la cuisine pour prendre mon petit déj.
Vision paradisiaque. Cathy est à quatre pattes sur le carrelage et frotte une grosse tâche frénétiquement. Elle s'est habillée de sa tenue spécial ménage : une vieille jupe à fleurs et un tee-shirt mauve délavé. Mon sang ne fait qu'un tour.
- Ne bouge surtout pas ! je lui dis.
- Quoi, qu'est-ce qu'il y a ?
Je m'approche derrière elle, trousse sa jupe et baisse sa culotte.
- J'ai envie de toi !
- T'es con ! j'ai cru que j'avais une bête !
- Mais tu as une grosse bête ... là ! Lui dis-je en passant ma main dans sa fente.
- C'est plutôt toi la grosse bête. Laisse-moi, j'ai du travail.
Elle rouspète un peu mais me laisse faire en continuant de frotter le carrelage, les fesses à l'air et la culotte sur les genoux. Je masse sa chatte qui s'ouvre sans conteste. Cathy frotte toujours mais son rythme ralentit. J'entre un doigt dans son intimité, je l'entends soupirer, elle n'est plus à son ménage. 
 Je pousse mon doigt à fond et le fait tourner, massant l'intérieur du vagin. Cathy s'appuie sur ses coudes, ses reins se creusent :
- Et bien, mets-moi ta queue, maintenant que je suis tout excitée.
J'ouvre ma braguette et je me positionne. Ma queue n'a aucun mal à entrer, Cathy est déjà toute mouillée et je la baise à toute vitesse sur le carrelage de la cuisine. J'aime bien de temps en temps baiser Cathy comme un lapin. Elle aussi elle aime bien ça, elle me le demande parfois et de préférence dans des situations insolites.

Une fois nous visitions un château du moyen âge. En montant l'escalier en colimaçon du donjon elle m'avait retenu par la manche pour laisser filer le groupe et m'avait dit :
- Fais-moi le lapin
Elle s'était agenouillée sur une marche et baissait déjà sa culotte en me tendant ses fesses. Je l'avais prise à toute vitesse pendant qu'elle gloussait un mélange de rire et de jouissance. Ça ne m'avait pas pris deux minutes pour gicler au fond d'elle. Elle avait remonté sa culotte et posé un baiser sur mes lèvres. Elle m'avait fait bander, elle m'avait fait jouir, elle avait mon sperme dans son ventre : elle était contente. Le reste de la visite, je la voyais passer furtivement une main entre ses cuisses et la porter à ses lèvres.

- Si tu voulais m'aider tu irais faire les courses, je t'ai fait une liste.
Je regarde la liste sur la porte du frigo : des poireaux, du lait, corn flakes, tomates, deux concombres, vin, une baguette ...
- O.K. mon amour, j'y vais.
Le magasin est bondé. Normal, on est samedi. En revenant devant la porte de l'immeuble il y a un camion de déménagement stationné, toutes portes fermées. Je me demande : " C'est pour un déménagement ou pour un aménagement ? "
Je prends l'ascenseur, pas de trace des déménageurs. Je suis arrivé chez nous, j'ouvre la porte et j'entends du bruit au salon. J'y entre, mes sacs de commissions à la main et je comprends l'origine des bruits : Cathy est assise au milieu du canapé toute débraillée et elle se fait peloter par quatre malabars. Je viens de trouver les déménageurs.
 Deux mecs sont en train de caresser ses petits nénés et un autre a mis la main dans sa culotte, il lui tripote la chatte. Je l'entends dire :
- Hé ! elle mouille la petite dame.
Le quatrième est debout, il a ouvert sa braguette et s'apprête à sortir son engin. Cathy a les yeux fermés, un beau sourire illumine son visage, elle ronronne en bougeant doucement son bassin. Le doigt du monsieur vient d'entrer dans sa chatte lorsque je lance :
- Messieurs bonjour !
Ça jette toujours un froid. Toutes les têtes se tournent vers moi et j'enchaîne :
- Continuez, je vous en prie. Je pose ça et j'arrive.
Je pose mes courses sur la table de la cuisine et je rejoins le groupe.
- Ces messieurs voulaient un renseignement, me dit Cathy, radieuse.
- Et tu leur a donné et ils sont entrain de te remercier.
- Oui, c'est ça.
Le plus âgé des déménageurs -une quarantaine d'année- et qui semble être le chef me dit :
- Excusez-nous on savait pas, on va vous laisser.
- Vous n'y pensez pas ! Maintenant que vous l'avez excitée il faut la finir ! Hein ma puce, ces messieurs vont devoir te baiser ?
- Oh oui ! Baisez-moi tous ! Répond-t-elle l’œil pétillant.
J'attrape sa culotte et la lui retire, ensuite le tee-shirt et la jupe, sous le regard des quatre types légèrement interloqués.
- Allez ma chérie, écarte tes cuisses, montre-leur ton minou.
Cathy est entièrement nue et fait la grenouille lubrique : sur le dos, cuisses bien écartées et genoux pliés, au milieu du canapé. Je m'assieds à côté d'elle, je caresse sa chatte et lui ouvre en disant :
-          Allez, n'ayez pas peur ! Approchez !
-          Toi, viens me lécher la minette, lance Cathy
Le chef se positionne, à lui l'honneur. Au contact de la langue sur sa moule Cathy émet un soupir de satisfaction. Je lui maintiens les jambes bien écartées.
-          Mets-lui un doigt dans le cul pendant que tu la lèches, elle aime ça.
Le type s’exécute, il enduit son majeur de salive et l’enfonce dans l’anus. Cathy frémit de contentement.
Le bonhomme sait s’y prendre : au bout de quelques minutes de ce traitement Cathy se tortille comme un asticot en gémissant. Je la tiens toujours fermement par les genoux.
-          Hé, les autres ! ne soyez pas timides, mettez-vous à l’aise.
-          Oh oui ! à poil tout le monde, renchérit Cathy.
Tout le monde se déshabille et on se rapproche de l’action. Les mecs s’enhardissent, leurs mains commencent à parcourir le corps de cette petite femelle excitée, elles palpent les seins, caressent les cuisses, frôlent le clitoris, pincent les tétons. La langue du patron est remplacée par des doigts bourrus. On fouille la chatte, on dilate l’anus. Cathy est au bord de l’orgasme.
-          Baise-la maintenant !
-          Oui ! Baise-moi !
J’ai descendu mes mains le long des cuisses de Cathy et j’ouvre son sexe trempé à la pine du déménageur.
Le patron enfonce sa bite et commence à limer. Cathy a rugit à la pénétration.
Un autre gars, un gros barbu, vient se placer à côté d’elle, son sexe à la main. Cathy ouvre la bouche :
- Viens, je vais te sucer. 
 Le mec ne se fait pas prier. Moi je pince ses tétines et je masse en même temps le clitoris. Cathy manifeste son plaisir.
Les deux autres mecs sont debout, à poil devant le canapé et ils attendent leur tour la bite à la main. Ils sont les plus jeunes. L'un ressemble un peu à Stallone. C'est marrant il a une toute petite bite ... comme quoi ...
L'autre est un black et par contre, lui est monté comme un âne ... comme quoi ...
Au bout d'un moment le barbu pousse son chef pour prendre sa place et c'est Stallone qui se fait sucer la bite. Cathy commence à gémir de plus en plus fort. Je lui tète les seins, je la caresse partout et le barbu la bourre à grands coups.
Lorsque le jeune noir présente sa monstrueuse queue à l'entrée du paradis Cathy lui lance :
- Non ! Toi tu vas me la mettre en levrette.
Elle se lève du canapé et va s'installer à quatre pattes sur la table basse du salon, les jambes jointes et les fesses bien en l'air elle tend sa croupe à la saillie du mâle. Elle cramponne les bords de la table et cambre ses reins :
- Vas-y, enfonce-la doucement, je veux la sentir tout entière ta bite de cheval, prends-moi comme une jument !
Le type était déjà bien excité, mais les paroles de Cathy viennent de lui donner un coup de fouet supplémentaire. Sa bite est raide et semble dure comme du bois. Il approche du con entrouvert et pose son énorme gland à l'entrée. Nous on est autour de Cathy et on admire le spectacle. La queue commence à lui entrer dedans.
 -          Allez ! pousse mon bel étalon ! ... Ah ! Putain qu'elle est grosse ! ... Oh ! je la sens passer !
Elle passe une main derrière elle pour toucher cette bite en train de l'empaler
- Oh ! Bon sang, il reste encore tout ça ? ... Allez enfonce, enfonce-moi tout, il faut la saillir à fond ta bonne pouliche ! ... Aïe !
Excité par le langage de Cathy le mec vient d’entrer son engin d'un bon coup de reins, ses couilles cognent maintenant contre le clitoris, il cramponne Cathy par les hanches et se met à la fourrer copieusement. 
Fier de sa queue, il fait de longs allers-retours, sortant presque son membre et le rentrant aussitôt jusqu'au fond. Cathy halète. Elle est rouge et en sueur et nous regarde tour à tour, voulant sans doute nous faire partager sa jouissance.
Stallone s'assied en face d'elle, à califourchon sur la table basse et sa quéquette à la main. Cathy ouvre grand la bouche et l'engloutit tout entière.
- On dirait vraiment une jument, il lui manque plus que la queue ! Plaisante-t-il.
Il me vient une idée.
Je file à la cuisine et reviens avec un poireau. J'ai retiré les racines et je l'ai passé sous l'eau. Cathy est toujours dans la même position et jouit de plus en plus fort. Tous les mecs sont autour d'elle et lui caressent les fesses, les seins, le ventre ... elle adore ça.
J'arrive à trouver une place près de ses fesses et après une courte préparation je lui plante le poireau dans le cul.
 - La voilà ta queue ma belle jument !
Cathy a sursauté de surprise et de douleur et commence à se débattre, mais le black la tient toujours par les hanches et bien empalée sur sa bite.
-  Aïe ! Putain t’es con, ça fait mal !
Le gros barbu éclate de rire, les autres restent bouche bée, et puis tout le monde se met à rire, y compris Cathy qui se libère de son étalon et se met à arpenter la pièce à quatre patte en tortillant du cul et en hennissant.
Le black lui court après, tel un cow-boy poursuivant sa monture, puis il la saisit par les hanches et lui plante de nouveau son pieu dans la chatte. Il lui claque les fesses d’une main et de l’autre tient levé le poireau, comme s’il s’agissait de la queue de sa jument.
Cathy,  à quatre pattes au milieu du salon, se laisse saillir en hennissant, ce petit jeu l’amuse beaucoup. Nous on forme un cercle autour du couple et on les regarde la bite à la main. Quelques encouragements commencent à fuser :
-          Oui, vas-y, baise la bien.
-          Ramone-lui la chatte !
-          Claque-lui les fesses !
-          Enfonce-lui jusqu’au fond !
-          Fais-la hurler !
Le mec commence alors à accélérer la cadence. Il envoie de grands coups de bite en ahanant. Moi je saisis le poireau et je l’enfonce un peu plus loin dans le cul de Cathy qui se met à hurler. Elle a posé sa tête par terre, entre ses mains et se mord les doigts de plaisir. Les fesses en l’air elle vacille à chaque coup de bite du black. Et puis le voilà qui se met à hurler en cramponnant les fesses de Cathy : il est en train de lui lâcher son foutre dans la chatte !
Quand il se retire la chatte de Cathy reste grande ouverte et un torrent de sperme en dégouline.
Le barbu prend alors sa place derrière Cathy qui n’a pas bougé. Moi j’ai envie d’essayer d’autres légumes ! Je fonce à la cuisine chercher un concombre. Je choisis le plus gros bien sûr ! Il fait au moins 6 cm de diamètre !
Quand je reviens au salon le barbu a déjà joui dans Cathy, sa quéquette toute molle lui pend entre les jambes et c’est Stallone qui a pris sa place. Cathy ne gémit plus, la bite de Stallone est trop petite, mais quand je retire le poireau et que je lui enfile le concombre dans le cul elle recommence à brailler !
Cette vision du concombre dans le cul de Cathy suffit à faire jouir Stallone. 
Il se retire pour laisser la place au dernier qui n’a pas encore joui : le chef. Je soulève bien le concombre pour lui laisser le passage à la chatte mais… trop tard ! Le bonhomme lâche sa purée avant d’entrer.
-          Bon ben… on va vous laisser m’sieur dame… merci pour tout !

Une fois qu’ils sont partis je retire le concombre des fesses de Cathy et j’y entre ma bite. Et pendant que lui lime doucement le cul elle me lance :
- On se fait une p’tite soupe de légumes ce soir ?



*****************************************************


Fruits et légumes

(Pour une bonne santé il faut consommer au moins 5 fruits et légumes par jour)




- Ouich, bé ils chont fas dis far où !














- Vous êtes sûr qu'il faut prendre les 5 à la fois ?!




















- La banane ça se mange par les deux bouts ! Tu veux goûter ?






















Gourmande !!!












 C'est le concombre qui doit être content !















En gros plan c'est toujours impressionnant !

















- Tiens, prends-le, toi, et enfonce-le moi !














Pour faire du pop-corn il faut chauffer le maïs trèèèèèèèès fort !













C'est pas mignon ça ?










- Elle s'est fourré un lapin dans la chatte... on essaye de l'attirer
- Petit !... Petit petit ! Viens mon lapin !













- J'me suis foutu l'éplucheur dans le cul, maintenant j'ai tout ça à éplucher !












- Elle te plait ma grosse queue ? ça te dirait que j't'encule avec ?











Et pour finir, à contempler religieusement... on en croquerait !