vendredi 24 juin 2011

4 - Le rêve de Cathy

Ce matin je suis réveillé avant Cathy. Comme souvent d'ailleurs. Elle dort à côté de moi, en chien de fusil et me tourne le dos. On a fait l'amour tard hier soir mais j'ai encore envie d'elle. Je commence à caresser ses hanches, ses fesses, je descends vers son sexe endormi. Je passe ma main sur sa fente, elle est douce et tiède. Je la caresse un moment du bout des doigts et puis je la sens devenir moite et de plus en plus humide. Cathy dort toujours et je fais doucement pour ne pas la réveiller. J'écarte ses lèvres intimes et je masse lentement sa vulve. Mon sexe se met à gonfler. J'enfonce un doigt et je le bouge doucement dans sa chatte. Cathy soupire et grommelle quelque chose que je ne comprends pas et puis toujours dans son sommeil elle ramène davantage ses jambes contre elle pour dégager son sexe. Ma queue est fièrement dressée et je frotte mon gland dans sa fente maintenant très mouillée. J'adore prendre Cathy dans son sommeil : quoi de plus beau que de se réveiller en faisant l'amour. Alors je positionne mon gland et je la pénètre tendrement. Je commence à bouger en elle et tout à coup Cathy se réveille en sursaut. Elle se retourne et me dit :
- ah c'est toi ?
-  ben qui veux-tu que ce soit ?
- Mais non, mais je faisais un rêve
Comme elle se laisse faire je continue de bouger en elle et je lui demande :
- C'est quoi ce rêve
- Oh ! c'est un rêve cochon ! ... continue, c'est bon.
- Ben vas-y, raconte.
Et Cathy commence à me raconter son rêve :
" J'étais au boulot, dans la salle de réunion et il y avait toute l'équipe des commerciaux plus plein de mecs que je ne connaissais pas. Des clients sans doute. En tout il y avait bien une vingtaine de personnes et que des mecs. Je ne sais pas ce que j'avais fait comme connerie mais Martial (Martial c'est le patron de Cathy) était en train de dire que j'avais fait une bêtise et qu'il fallait me punir. Ensuite il m'a mise dos à la salle, m'a fait pencher en avant, il a levé ma jupe, baissé ma culotte et il a commencé à me mettre une fessée devant tout le monde. J'avais honte. Tous ces mecs voyaient mes fesses et je les entendais rigoler derrière moi. 
 La fessée a duré un moment. Mes fesses me brûlaient et je voulais que ça s'arrête. Mais ensuite Martial m'a assise sur son bureau, face à la salle. Il a retiré ma petite culotte et m'a ouvert les cuisses pour montrer ma chatte à tout le monde. " Oh ! mais c'est une jolie petite chatte toute rasée ! mais il faut la punir aussi." J'étais furieuse mais il a appelé deux commerciaux qui se sont mis de chaque côté de moi, m'ont basculée en arrière et m'ont tenu les cuisses écartées. Ensuite Martial s'est mis à me taper sur la chatte avec sa main. Doucement au début et puis de plus en plus fort. Tout le monde riait et moi je me débattais et je criais mais je ne pouvais pas fermer mes jambes, les commerciaux me tenaient ferme. Il a tapé, tapé sur ma chatte, sur mon clitoris et ça me faisait mal, ma minette était en feu, j'avais l'intérieur des cuisses tout rouge. Et puis il s'est arrêté de taper et il a dit : " cette petite minette a trop chaud, il faut la rafraîchir. " Et il s'est placé entre mes jambes et il a commencé à lécher ma chatte brûlante. Sa langue était fraîche, ça me faisait du bien. Il léchait partout, y compris sur mon clitoris et je me sentais excitée malgré moi, alors je serrais les dents. Ensuite il s'est levé et il a dit : " au suivant, il y en aura pour tout le monde. " Et tous les mecs se sont approchés et ont fait la queue devant ma chatte. Ils l'ont tous léchée à tour de rôle, j'étais humiliée. Les deux mecs qui me tenaient les cuisses, pendant ce temps-là avaient levé mon tee-shirt pour me mettre les seins à l'air et ils les pelotaient sauvagement, ils me trituraient les tétons avec force. Une fois que tout le monde m'a eu bien léché la chatte, Martial a dit : " il faut la foutre à poil ! " Alors tout le monde s'est mis à gueuler : " oui ! à poil ! à poil ! " et je me suis retrouvée entièrement nue au milieu de tous ces mecs en costards. Ensuite Martial a repris la parole : " Messieurs, sortez vos engins." Alors ils ont tous sortis leur queue et ils m'ont mise à quatre pattes sur le bureau, la tête en bas, face à la salle, et les fesses bien en l'air. Ils ont trouvé un rouleau de ruban adhésif, alors ils m'ont mis les mains dans le dos et ils m'ont scotché les poignets. La file indienne s'est reformée mais cette fois-ci chacun me mettait sa bite dans la bouche et il fallait que je la suce. En même temps Martial avait recommencé à me taper sur le cul. Les deux types de chaque côté m'écartaient les fesses et lui il tapait bien au milieu, sur mon anus et sur ma fente. Sa main claquait sur mes fesses et ça faisait un bruit qui résonnait dans toute la salle. Ça recommençait à me cuire et je vis tout à coup arriver une chose énorme. C'était une queue noire qui appartenait à Marcel, un grand black de la boite que je croise tous les jours dans les couloirs. Elle faisait au moins trente centimètres de long et six de large, une bite qu'on voit que dans ses rêves. "
- Ben justement ma chérie, c'était un rêve.
J'étais toujours derrière elle et je la baisais doucement en l'écoutant :
 " Donc je voyais arriver cette bite de cheval et il fallait que je la suce aussi. Le type a à peine réussi à mettre le gland dans ma bouche et je le tétais comme une grosse tétine. 
Et puis j'ai senti quelque chose se poser sur mon anus et forcer le passage. C'était Martial qui avait trouvé une balayette avec un manche en bois rond et qui me l'enfonçait dans le fion en gueulant : " dans le cul la balayette ! " Tout le monde s'est mis à rire et moi j'avais des larmes de honte qui me coulaient sur les joues. Mes mains attachées, toutes ces bites que je suçais et puis la balayette qui me fouillait le cul. Ensuite Martial a dit : " Mais c'est trop petit pour elle, il faut lui donner du plus gros. "
- Attends, viens sur moi, me dit Cathy.
Elle veut changer de position. Elle se met sur le dos et m'ouvre ses cuisses. Je m'allonge sur elle, pose ma tête au creux de son épaule et je la pénètre tandis qu'elle reprend le fil de son récit tout près de mon oreille:
" Alors ils m'ont jetée par terre, m'ont remise à quatre pattes, et Martial s'est approché. Il s'est placé au-dessus de mes fesses et s'est enfoncé dans mon cul à grands coups, sans aucune préparation et j'ai poussé un grand cri de douleur. Il s'est mis à me pistonner à toute force. Son bas-ventre tapait sur mes fesses, ses couilles cognaient contre ma chatte. Je ne pouvais pas poser mes mains par terre, elles étaient toujours attachées dans mon dos. J'étais obligée de poser la tête par terre et comme ça j'avais les fesses bien en l'air. Et puis un autre a pris la place de Martial et ils m'ont tous enculée comme une chienne au milieu de la salle. Tous, l'un après l'autre, ils sont venus planter leur bite dans mon trou du cul et me pistonner à fond. Moi je gueulais et je les insultais, mais ça devait les exciter davantage. Cependant ils avaient gardé le meilleur pour la fin. Soudain je les entends qui scandent : " Mar-cel ! Ma-rcel ! ... " Oh non ! pas lui ! Je l'avais complètement oublié celui-là. Marcel est venu poser son énorme gland sur mon anus déjà bien endolori et il a commencé à pousser fort. Mais ça ne voulait pas entrer, alors on s'est précipité sur moi, on me tenait par le bassin, on m'écartait les fesses, on me crachait sur l'anus. Et Marcel a repris sa place, il a roulé son énorme gland dans toute cette bave qui me dégoulinait le long des cuisses et il s'est remis à pousser fort. Tout le monde l'encourageait, et soudain le gland a réussi à entrer. J'ai senti mon anus prêt à se rompre. La queue entrait en moi progressivement et je me suis mise à hurler de douleur et de honte. 
Marcel a rentré toute sa bite et je sentais son gland me pousser les intestins. J'avais mal tout autour de mon anus et Marcel m'a cramponnée par les hanches et il a commencé a me sodomiser. Je sentais toute la longueur de sa queue pénétrer en moi, et puis il sortait entièrement et replongeait tout jusqu'aux couilles. Il prenait plaisir à m'enfoncer sa bite lentement pour bien me la faire sentir. Les autres étaient devenus silencieux, ils regardaient mon anus distendu engloutir cette queue de géant. Ensuite il y a quelqu'un qui s'est placé devant moi et qui m'a levé la tête en me tirant par les cheveux. De l'autre main il se branlait devant ma figure et j'ai vu le jet de sperme m'arriver tout droit dans la gueule. Quand il a eu fini, Marcel m'a relevée contre lui pour me peloter les seins pendant qu'il m'enculait. L'autre type me tenait toujours par les cheveux et les autres se sont approchés autour de moi. Ils se sont mis à me gicler dessus. Tous, ils ont envoyé leur foutre dans ma figure. J'en avais partout, ça me dégoulinait sur les yeux, la bouche, dans les oreilles, dans le cou, j'en avais plein sur les seins et sur le ventre. Marcel m'enculait de plus en plus fort, excité par tout ce foutre. Et puis sa queue s'est plantée fort tout au fond de moi, je l'ai sentie palpiter et Marcel a lâché sa purée dans mes intestins. Ensuite ils sont tous sortis en me laissant par terre nue, toujours les mains attachées et pleine de sperme. Je me suis écroulée au sol et je me suis mise à pleurer. Ensuite j'ai senti une main qui me caressait la chatte et puis une queue qui entrait en moi, et c'était toi qui me réveillait."
Je ne peux plus me retenir. Cette histoire m'a complètement excité, je jouis au fond de Cathy tandis qu'elle me dit :
- Bon, il faut que j'aille au travail ... J'espère que je ne ferai pas de bêtise !

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Quelques spécimens de belles queues noires !






Ch'en bave tellement ch'est bon !










Et vous savez où il veut me la mettre ?











Si je me la mets dans le cul il va me gicler dans l'estomac !












 Heureusement que j'ai une chatte extra-large !












 J'la paye 5 $ le centimètre, c'est pas donné mais c'est ce qu'il faut pour un bon ramonage !











ça fait deux jours qu'il me baise avec sa grosse bite ! Moi tout ce que je veux maintenant c'est dormiiiiiiiir !











Hé les jalouses, prenez des photos, c'est pas tous les jours qu'on en a une comme ça dans la chatte !










Aïe ! Mais tu m'avais pas dit que t'en avais une si grosse !


  Finalement, une fois que c'est rentré c'est le panard !
 

1 commentaire:

  1. ÉNORME ! les queues mais aussi les commentaires..j'adore ! je ris et je bande

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