samedi 16 juillet 2011

7 - Les déménageurs

Je sors de la chambre au radar. On est samedi matin, je viens de me taper une grasse matinée royale et je me dirige vers la cuisine pour prendre mon petit déj.
Vision paradisiaque. Cathy est à quatre pattes sur le carrelage et frotte une grosse tâche frénétiquement. Elle s'est habillée de sa tenue spécial ménage : une vieille jupe à fleurs et un tee-shirt mauve délavé. Mon sang ne fait qu'un tour.
- Ne bouge surtout pas ! je lui dis.
- Quoi, qu'est-ce qu'il y a ?
Je m'approche derrière elle, trousse sa jupe et baisse sa culotte.
- J'ai envie de toi !
- T'es con ! j'ai cru que j'avais une bête !
- Mais tu as une grosse bête ... là ! Lui dis-je en passant ma main dans sa fente.
- C'est plutôt toi la grosse bête. Laisse-moi, j'ai du travail.
Elle rouspète un peu mais me laisse faire en continuant de frotter le carrelage, les fesses à l'air et la culotte sur les genoux. Je masse sa chatte qui s'ouvre sans conteste. Cathy frotte toujours mais son rythme ralentit. J'entre un doigt dans son intimité, je l'entends soupirer, elle n'est plus à son ménage. 
 Je pousse mon doigt à fond et le fait tourner, massant l'intérieur du vagin. Cathy s'appuie sur ses coudes, ses reins se creusent :
- Et bien, mets-moi ta queue, maintenant que je suis tout excitée.
J'ouvre ma braguette et je me positionne. Ma queue n'a aucun mal à entrer, Cathy est déjà toute mouillée et je la baise à toute vitesse sur le carrelage de la cuisine. J'aime bien de temps en temps baiser Cathy comme un lapin. Elle aussi elle aime bien ça, elle me le demande parfois et de préférence dans des situations insolites.

Une fois nous visitions un château du moyen âge. En montant l'escalier en colimaçon du donjon elle m'avait retenu par la manche pour laisser filer le groupe et m'avait dit :
- Fais-moi le lapin
Elle s'était agenouillée sur une marche et baissait déjà sa culotte en me tendant ses fesses. Je l'avais prise à toute vitesse pendant qu'elle gloussait un mélange de rire et de jouissance. Ça ne m'avait pas pris deux minutes pour gicler au fond d'elle. Elle avait remonté sa culotte et posé un baiser sur mes lèvres. Elle m'avait fait bander, elle m'avait fait jouir, elle avait mon sperme dans son ventre : elle était contente. Le reste de la visite, je la voyais passer furtivement une main entre ses cuisses et la porter à ses lèvres.

- Si tu voulais m'aider tu irais faire les courses, je t'ai fait une liste.
Je regarde la liste sur la porte du frigo : des poireaux, du lait, corn flakes, tomates, deux concombres, vin, une baguette ...
- O.K. mon amour, j'y vais.
Le magasin est bondé. Normal, on est samedi. En revenant devant la porte de l'immeuble il y a un camion de déménagement stationné, toutes portes fermées. Je me demande : " C'est pour un déménagement ou pour un aménagement ? "
Je prends l'ascenseur, pas de trace des déménageurs. Je suis arrivé chez nous, j'ouvre la porte et j'entends du bruit au salon. J'y entre, mes sacs de commissions à la main et je comprends l'origine des bruits : Cathy est assise au milieu du canapé toute débraillée et elle se fait peloter par quatre malabars. Je viens de trouver les déménageurs.
 Deux mecs sont en train de caresser ses petits nénés et un autre a mis la main dans sa culotte, il lui tripote la chatte. Je l'entends dire :
- Hé ! elle mouille la petite dame.
Le quatrième est debout, il a ouvert sa braguette et s'apprête à sortir son engin. Cathy a les yeux fermés, un beau sourire illumine son visage, elle ronronne en bougeant doucement son bassin. Le doigt du monsieur vient d'entrer dans sa chatte lorsque je lance :
- Messieurs bonjour !
Ça jette toujours un froid. Toutes les têtes se tournent vers moi et j'enchaîne :
- Continuez, je vous en prie. Je pose ça et j'arrive.
Je pose mes courses sur la table de la cuisine et je rejoins le groupe.
- Ces messieurs voulaient un renseignement, me dit Cathy, radieuse.
- Et tu leur a donné et ils sont entrain de te remercier.
- Oui, c'est ça.
Le plus âgé des déménageurs -une quarantaine d'année- et qui semble être le chef me dit :
- Excusez-nous on savait pas, on va vous laisser.
- Vous n'y pensez pas ! Maintenant que vous l'avez excitée il faut la finir ! Hein ma puce, ces messieurs vont devoir te baiser ?
- Oh oui ! Baisez-moi tous ! Répond-t-elle l’œil pétillant.
J'attrape sa culotte et la lui retire, ensuite le tee-shirt et la jupe, sous le regard des quatre types légèrement interloqués.
- Allez ma chérie, écarte tes cuisses, montre-leur ton minou.
Cathy est entièrement nue et fait la grenouille lubrique : sur le dos, cuisses bien écartées et genoux pliés, au milieu du canapé. Je m'assieds à côté d'elle, je caresse sa chatte et lui ouvre en disant :
-          Allez, n'ayez pas peur ! Approchez !
-          Toi, viens me lécher la minette, lance Cathy
Le chef se positionne, à lui l'honneur. Au contact de la langue sur sa moule Cathy émet un soupir de satisfaction. Je lui maintiens les jambes bien écartées.
-          Mets-lui un doigt dans le cul pendant que tu la lèches, elle aime ça.
Le type s’exécute, il enduit son majeur de salive et l’enfonce dans l’anus. Cathy frémit de contentement.
Le bonhomme sait s’y prendre : au bout de quelques minutes de ce traitement Cathy se tortille comme un asticot en gémissant. Je la tiens toujours fermement par les genoux.
-          Hé, les autres ! ne soyez pas timides, mettez-vous à l’aise.
-          Oh oui ! à poil tout le monde, renchérit Cathy.
Tout le monde se déshabille et on se rapproche de l’action. Les mecs s’enhardissent, leurs mains commencent à parcourir le corps de cette petite femelle excitée, elles palpent les seins, caressent les cuisses, frôlent le clitoris, pincent les tétons. La langue du patron est remplacée par des doigts bourrus. On fouille la chatte, on dilate l’anus. Cathy est au bord de l’orgasme.
-          Baise-la maintenant !
-          Oui ! Baise-moi !
J’ai descendu mes mains le long des cuisses de Cathy et j’ouvre son sexe trempé à la pine du déménageur.
Le patron enfonce sa bite et commence à limer. Cathy a rugit à la pénétration.
Un autre gars, un gros barbu, vient se placer à côté d’elle, son sexe à la main. Cathy ouvre la bouche :
- Viens, je vais te sucer. 
 Le mec ne se fait pas prier. Moi je pince ses tétines et je masse en même temps le clitoris. Cathy manifeste son plaisir.
Les deux autres mecs sont debout, à poil devant le canapé et ils attendent leur tour la bite à la main. Ils sont les plus jeunes. L'un ressemble un peu à Stallone. C'est marrant il a une toute petite bite ... comme quoi ...
L'autre est un black et par contre, lui est monté comme un âne ... comme quoi ...
Au bout d'un moment le barbu pousse son chef pour prendre sa place et c'est Stallone qui se fait sucer la bite. Cathy commence à gémir de plus en plus fort. Je lui tète les seins, je la caresse partout et le barbu la bourre à grands coups.
Lorsque le jeune noir présente sa monstrueuse queue à l'entrée du paradis Cathy lui lance :
- Non ! Toi tu vas me la mettre en levrette.
Elle se lève du canapé et va s'installer à quatre pattes sur la table basse du salon, les jambes jointes et les fesses bien en l'air elle tend sa croupe à la saillie du mâle. Elle cramponne les bords de la table et cambre ses reins :
- Vas-y, enfonce-la doucement, je veux la sentir tout entière ta bite de cheval, prends-moi comme une jument !
Le type était déjà bien excité, mais les paroles de Cathy viennent de lui donner un coup de fouet supplémentaire. Sa bite est raide et semble dure comme du bois. Il approche du con entrouvert et pose son énorme gland à l'entrée. Nous on est autour de Cathy et on admire le spectacle. La queue commence à lui entrer dedans.
 -          Allez ! pousse mon bel étalon ! ... Ah ! Putain qu'elle est grosse ! ... Oh ! je la sens passer !
Elle passe une main derrière elle pour toucher cette bite en train de l'empaler
- Oh ! Bon sang, il reste encore tout ça ? ... Allez enfonce, enfonce-moi tout, il faut la saillir à fond ta bonne pouliche ! ... Aïe !
Excité par le langage de Cathy le mec vient d’entrer son engin d'un bon coup de reins, ses couilles cognent maintenant contre le clitoris, il cramponne Cathy par les hanches et se met à la fourrer copieusement. 
Fier de sa queue, il fait de longs allers-retours, sortant presque son membre et le rentrant aussitôt jusqu'au fond. Cathy halète. Elle est rouge et en sueur et nous regarde tour à tour, voulant sans doute nous faire partager sa jouissance.
Stallone s'assied en face d'elle, à califourchon sur la table basse et sa quéquette à la main. Cathy ouvre grand la bouche et l'engloutit tout entière.
- On dirait vraiment une jument, il lui manque plus que la queue ! Plaisante-t-il.
Il me vient une idée.
Je file à la cuisine et reviens avec un poireau. J'ai retiré les racines et je l'ai passé sous l'eau. Cathy est toujours dans la même position et jouit de plus en plus fort. Tous les mecs sont autour d'elle et lui caressent les fesses, les seins, le ventre ... elle adore ça.
J'arrive à trouver une place près de ses fesses et après une courte préparation je lui plante le poireau dans le cul.
 - La voilà ta queue ma belle jument !
Cathy a sursauté de surprise et de douleur et commence à se débattre, mais le black la tient toujours par les hanches et bien empalée sur sa bite.
-  Aïe ! Putain t’es con, ça fait mal !
Le gros barbu éclate de rire, les autres restent bouche bée, et puis tout le monde se met à rire, y compris Cathy qui se libère de son étalon et se met à arpenter la pièce à quatre patte en tortillant du cul et en hennissant.
Le black lui court après, tel un cow-boy poursuivant sa monture, puis il la saisit par les hanches et lui plante de nouveau son pieu dans la chatte. Il lui claque les fesses d’une main et de l’autre tient levé le poireau, comme s’il s’agissait de la queue de sa jument.
Cathy,  à quatre pattes au milieu du salon, se laisse saillir en hennissant, ce petit jeu l’amuse beaucoup. Nous on forme un cercle autour du couple et on les regarde la bite à la main. Quelques encouragements commencent à fuser :
-          Oui, vas-y, baise la bien.
-          Ramone-lui la chatte !
-          Claque-lui les fesses !
-          Enfonce-lui jusqu’au fond !
-          Fais-la hurler !
Le mec commence alors à accélérer la cadence. Il envoie de grands coups de bite en ahanant. Moi je saisis le poireau et je l’enfonce un peu plus loin dans le cul de Cathy qui se met à hurler. Elle a posé sa tête par terre, entre ses mains et se mord les doigts de plaisir. Les fesses en l’air elle vacille à chaque coup de bite du black. Et puis le voilà qui se met à hurler en cramponnant les fesses de Cathy : il est en train de lui lâcher son foutre dans la chatte !
Quand il se retire la chatte de Cathy reste grande ouverte et un torrent de sperme en dégouline.
Le barbu prend alors sa place derrière Cathy qui n’a pas bougé. Moi j’ai envie d’essayer d’autres légumes ! Je fonce à la cuisine chercher un concombre. Je choisis le plus gros bien sûr ! Il fait au moins 6 cm de diamètre !
Quand je reviens au salon le barbu a déjà joui dans Cathy, sa quéquette toute molle lui pend entre les jambes et c’est Stallone qui a pris sa place. Cathy ne gémit plus, la bite de Stallone est trop petite, mais quand je retire le poireau et que je lui enfile le concombre dans le cul elle recommence à brailler !
Cette vision du concombre dans le cul de Cathy suffit à faire jouir Stallone. 
Il se retire pour laisser la place au dernier qui n’a pas encore joui : le chef. Je soulève bien le concombre pour lui laisser le passage à la chatte mais… trop tard ! Le bonhomme lâche sa purée avant d’entrer.
-          Bon ben… on va vous laisser m’sieur dame… merci pour tout !

Une fois qu’ils sont partis je retire le concombre des fesses de Cathy et j’y entre ma bite. Et pendant que lui lime doucement le cul elle me lance :
- On se fait une p’tite soupe de légumes ce soir ?



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Fruits et légumes

(Pour une bonne santé il faut consommer au moins 5 fruits et légumes par jour)




- Ouich, bé ils chont fas dis far où !














- Vous êtes sûr qu'il faut prendre les 5 à la fois ?!




















- La banane ça se mange par les deux bouts ! Tu veux goûter ?






















Gourmande !!!












 C'est le concombre qui doit être content !















En gros plan c'est toujours impressionnant !

















- Tiens, prends-le, toi, et enfonce-le moi !














Pour faire du pop-corn il faut chauffer le maïs trèèèèèèèès fort !













C'est pas mignon ça ?










- Elle s'est fourré un lapin dans la chatte... on essaye de l'attirer
- Petit !... Petit petit ! Viens mon lapin !













- J'me suis foutu l'éplucheur dans le cul, maintenant j'ai tout ça à éplucher !












- Elle te plait ma grosse queue ? ça te dirait que j't'encule avec ?











Et pour finir, à contempler religieusement... on en croquerait !

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