dimanche 21 août 2011

10 - Le chinois (suite et fin)

La petite serveuse aussi a l'air de prendre son pied maintenant. Elle gigote sur la main de son patron. Elle a déboutonné son chemisier blanc et ses petits seins sont à l'air. Elle se pince les tétons et gémit doucement. Le patron, lui, se fait toujours pomper par Cathy mais à présent sa bite est raide et dure. Excité par son employée, il sort d'un coup de la bouche qui le suçait et attrape la petite par la taille. Il la place en face de Cathy les mains sur le dossier de la chaise, puis il enlève la petite culotte de coton blanc, lui fait écarter les jambes et promène sa queue sur cette jeune fente qui commence à mouiller. La petite respire vite, autant intimidée qu'excitée, elle attend la pénétration. Alors le patron lui enfonce sa queue et elle pousse un petit cri. Elle se penche en avant sur le dossier pour bien laisser pénétrer la bite en elle et sa tête se trouve à côté de celle de Cathy. Les deux petites nanas se regardent, complices. Elles semblent se dire : " elle est bonne ta bite ? " " oui elle est bonne, et la tienne ? " et puis, poussées par un même désir elles posent leurs lèvres l'une contre l'autre et commencent un long baiser langoureux. Ces filles sont merveilleuses ! Des hommes sont en train de les posséder et elles se passent des langues amoureuses.
Excité par le tableau, je ne peux m'empêcher de décharger tout au fond du con qui m'accueillait. Madame était en plein ciel. Elle se retourne et me fait : " déjà ? " Alors pour ne pas la laisser insatisfaite je me retire d'elle et avant qu'elle n'ait eu le temps de bouger, j'introduis trois doigts et commence à lui fouiller la moule. Madame semble satisfaite et murmure : " oui ... encore. " Sa chatte est grande ouverte et je nage dans mon sperme. Je décide de tenter un quatrième doigt, elle est lubrifiée à souhait. Le quatrième doigt entre sans problème. Je pousse à fond, les quatre doigts on disparu dans la fente. La dame tortille du cul en gémissant. Maintenant elle a posé sa tête sur le cuir de la banquette et s'écarte les fesses avec ses deux mains en me disant : " vas-y, rentre tout , " Oh putain, j'ai jamais fait ça ! Je rentre mon pouce au milieu des autres doigts et je pousse la main entière en la tournant légèrement pour écarter les parois. 
La femme tire sur ses cuisses, pousse sur sa chatte en râlant. Les autres nous regardent maintenant. Son mari, baisant toujours ma Cathy, l'encourage : " vas-y chérie, tu vas y arriver. " Je pousse encore en tortillant ma main qui se fraye un passage entre les chairs et finalement disparaît au fond du trou, entièrement avalée. Je n'en crois pas mes yeux : ma main est tout entière dans la chatte de cette femme. J'avance encore un peu et je rentre le début de l'avant bras. Je sens l'intérieur de son ventre sous mes doigts, les parois humides et plissées du vagin, je sens le col de l'utérus au fond. je sors ma main, je la rentre à nouveau, la ressors, la replonge dans des bruits de marécage. La chatte est complètement distendue. Je ferme le poing et commence à la bourrer sans retenue. La femme râle de plus en plus fort, elle s'est introduit deux doigts dans l'anus et se branle le cul à toute vitesse, puis elle s'exclame : " quelqu'un dans mon cul ... vite ! " le mari abandonne Cathy et se précipite sur sa femme. Il grimpe sur la banquette, se positionne au dessus de son cul et enfourne d'un coup sa bite jusqu'au fond. A cette pénétration, la femme jouit de tout son corps. Elle tremble de partout, ma main est trempée dans son sexe. Son mari continue de l'enculer et je sens sa bite contre mon poing. J'ouvre ma main à l'intérieur du vagin et je la tourne vers le haut. Je sens la queue me taper au bout des doigts. La bourgeoise se met à pleurer. De longs sanglots s'échappent d'elle. Je pense qu'elle vient de jouir comme jamais de sa vie. Son mari continue de l'enculer, moi je retire ma main et vais vers sa tête. Je caresse son dos et dépose un baiser sur sa joue. Lorsque son mari a fini par jouir au fond de son cul, elle s'effondre sur la banquette, anéantie.
Pendant ce temps-là il s'était passé des choses derrière nous. Cathy est entièrement nue maintenant et penchée en avant sur la table, elle offre ses fesses au patron qui lui lime la chatte. La petite est à côté d'elle, elle vient de ramasser une baguette sur la table et elle est en train de lui introduire dans l'anus. Cathy rigole à cette intrusion. Le patron rigole aussi. Tout en continuant à baiser, il parle en chinois et la serveuse ramasse d'autres baguettes qu'elle introduit aussi délicatement que possible pour ne pas faire mal. Cathy a maintenant six ou sept baguettes dans le cul, enfoncées d'une dizaine de centimètres et la queue du patron dans la chatte. Mais celui-ci se retire brusquement, au grand désarroi de Cathy, il lance encore quelques mots à la serveuse, remet son sexe dans son pantalon et sort en courant. La petite débarrasse notre table et secoue la nappe blanche. Cathy attend avec ses baguettes toujours fichées dans l'oignon. Le patron revient en refermant bien la porte derrière lui. Il a un gros paquet de baguettes dans les mains. Il  fait monter Cathy sur la table, à genou, les fesses en l'air puis assisté de sa serveuse, il commence à enfoncer les baguettes une à une. Il faut les enfiler par le milieu du fagot pour ne pas blesser l'anus et ça permet de tendre très progressivement le muscle anal. 
Je suis curieux de savoir combien Cathy peut accepter de ces baguettes. Le monsieur bourge fait le compte, on en est à dix-sept. Je m'approche de la serveuse, passe la main sous sa jupe et caresse ses fesses pendant qu'elle continue d'enfoncer les baguettes. La dame émerge de sa banquette. Elle se trouve nez à nez avec la tête de Cathy, alors elle s'assied en face d'elle et lui lèche le visage. Le monsieur compte vingt-cinq. C'est la taille d'une belle bite. A ce moment la porte s'ouvre. C'est le serveur qui doit s'impatienter. On le regarde tous. Il découvre le tableau : il a en face de lui le cul de ma nana que son patron et sa collègue bourrent de baguettes chinoises. Il ne peut retenir un cri d'étonnement, pas très fort mais suffisant pour rameuter les autres serveurs et puis des clients qui se précipitent. On entend des rires, des exclamations, des réflexions. Des gens entrent dans la salle, d'autres s'en vont, indignés. Il y a maintenant une trentaine de personne. Alors on  saisi Cathy par les cuisses, par les bras, on la soulève de table avec son paquet toujours dans le fion, on pousse les tables et on l'installe dans la même position par terre, au milieu de la salle. Les gens se mettent en cercle pour assister au spectacle. Cathy jubile. Tous ces gens pour l'admirer ! Elle tend encore plus sont petit cul et ronronne comme une chatte. Le monsieur annonce trente-huit, quarante-deux, quarante-neuf. Cathy gémit, ça doit commencer à tirer un peu. La petite chinoise s'est agenouillée derrière les fesses de Cathy pour continuer son travail alors je caresse sa fente en regardant le cul de ma copine avaler toutes ces tiges. C'est un beau fagot qui lui sort du cul maintenant. Je rentre un doigt dans la chatte de la petite qui est toute mouillée. Cinquante-sept, les gens applaudissent. Cathy souffle, elle commence à avoir mal. Le patron continue, il masse en même temps le muscle tout autour du fagot pour le détendre. Soixante-deux, ça doit bien faire dans les cinq centimètres de diamètre. La serveuse arrête le jeu. Elle va à la tête de Cathy se met à genoux devant elle et elles recommencent à s'embrasser langoureusement. Ensuite la petite dans cette position tourne la tête vers moi, soulève sa jupe et me tend ses fesses. Je ne résiste pas à l'invitation, je la pénètre en douceur.
 Autour de nous des hommes ont sorti leur sexe et se masturbent, des femmes se pétrissent les seins, certaines ont des mains d'hommes dans leur culotte. Soixante-six. Cathy commence à souffrir. Elle se tient maintenant les fesses à deux mains, la tête posée sur le lino, elle s'écarte au maximum. Elle entend autour d'elle : " poussez ... poussez ! " Je ne sais pas si ces encouragements s'adressent au patron ou à Cathy. Je continue de baiser la petite chinoise. Elle a retiré son chemisier et remonté son buste contre moi. Je masse ses petits seins pointus. Elle se cambre et se met à bouger elle-même sur ma queue en gémissant d'une petite voix fluette. Soixante et onze, Cathy souffle en serrant les dents. Des gens se sont approchés d'elle. On la caresse, on lui tient les mains, on lui écarte les fesses, une jeune femme est même en train de lui masser le clitoris par en-dessous. Le patron bouge le fagot dans le trou pour continuer de détendre, et il continue d'enfoncer. Soixante-quatorze, un type ne tient plus, il éjacule sur le dos de Cathy. Soixante-quinze, ma petite chinoise s'est remise en levrette. Elle pose des baisers sur la joue de Cathy, dans son cou, sur ses lèvres. Ma parole, cette fille est amoureuse de ma nana. Je salive dans mes doigts et commence à lui masser son petit trou. Elle frémit. Soixante-seize. Je pousse un doigt à l'intérieur de l'anus. La petite pousse un petit cri de surprise. Soixante-dix-sept. Je dilate le petit anus devant moi. Soixante-dix-huit. Je sors ma queue toute mouillée de la jeune chatte et j'appuie mon gland sur l'anus. Elle me dit :
- S'il vous plait, non, je ne l'ai jamais fait par là !
- N'aies pas peur je vais faire doucement
- Non, s'il vous plait !
Soixante-dix-neuf. Je pousse tout doucement en massant l'anus du bout du gland. J'entends Cathy qui râle : " ça fait mal ! " Quatre-vingt. Je pousse fort, le gland entre, la chinoise crie et veut s'échapper, mais je la tiens ferme par les hanches et je continue de pousser. Quatre-vingt-un. Cathy et la chinoise ont la tête sur le lino toutes les deux. Leurs bouches se frôlent et elles râlent ensemble. Quatre-vingt-deux. J'enfonce tout doucement ma bite jusqu'au bout en donnant des petits à-coups, la petite pousse un long cri et je commence à la sodomiser pendant qu'un autre mec lâche sa purée sur les reins de Cathy. Quatre-vingt-trois, Cathy n'en peut plus. Elle supplie qu'on arrête :
- Enlevez-les, ça fait trop mal !
Mais le patron répond :
- Attendez, pas tout de suite.
Il part en courant et revient quelques instant plus tard avec un appareil photo. Il commence à immortaliser l'exploit. Cathy fait sa star et prend des poses devant l'objectif, oubliant presque sa douleur. Montrant son cul à tout le monde, elle le tourne enfin vers moi, fièrement pour me faire admirer le résultat. Hommes et femmes regardent la scène en se masturbant : ma Cathy toute nue par terre, les fesses en l'air avec quatre-vingt-trois baguettes de bois enfoncées dans le cul.
Moi je suis toujours dans celui de ma petite asiate et je la sodomise tout doucement, lentement, presque affectueusement. C'est un régal. Je sens son anus étroit me serrer la verge. Le plaisir de se savoir le premier. La petite a toujours la tête au sol et a fermé les yeux. Ses mains sont entre ses cuisses et elle se touche délicatement le clitoris. Elle murmure des petits mots en chinois. Elle a l'air de prendre goût à ce que je lui fait.
Le patron a fini de mitrailler. Pendant qu'un autre monsieur tient les fesses de Cathy écartées, il empoigne le fagot de baguettes et tire dessus doucement.
- Poussez !
On se croirait dans une salle d'accouchement. Ma nana est en train d'accoucher par le cul d'un énorme bout de bois. Si c'est un garçon on l'appellera Pinocchio !
Cathy pousse un bon coup et le fagot jaillis de son cul. C'est énorme. Elle a un cratère entre les fesses. 
Les femmes écarquillent les yeux, incrédules, les hommes s'excitent, tout le monde veut aller gicler dans ce trou béant. Il faut faire vite avant que l'anus ne se referme. Cathy se prête au jeu, elle colle sa tête par terre et monte ses fesses au maximum, son anus est quasiment à la verticale. Le monsieur lui tient toujours bien écartelé, et les premières giclées commencent à arriver. Le sperme lui entre dans le rectum. Les hommes se bousculent, chacun veut sa part, les femmes contemplent en se masturbant. Des grappes d'hommes giclent tour à tour. Ça entre dans les entrailles, ça dégouline, ça gicle sur les fesses pour s'écouler lentement dans le trou. Quelqu'un a mis quatre doigts pour écarteler l'anus qui voulait se refermer et on continue de gicler dedans. Cathy râle de bonheur en se masturbant le clitoris. Tous ces hommes qui éjaculent dans ses entrailles sans la toucher. Je crois qu'elle est en train de jouir. Le patron vient éjaculer à son tour, il est le dernier. Ensuite hommes et femmes veulent profiter encore, avant que le muscle ne se referme. On vient toucher, on enfonce des doigts, on malaxe, on tripote. Cathy se laisse faire, elle est heureuse, son anus se referme sur des litres de foutre qu'elle veut garder en elle.
Ma petite chinoise et moi avons contemplé la scène, toujours emboîtés l'un dans l'autre. Je la relève contre moi pour encore caresser ses seins. Elle gémit doucement, se donne à moi. Elle se cambre et accroche ses mains à mon cou, par derrière. Je caresse sa poitrine, je pince ses tétons, je passe mes doigts dans son pubis soyeux comme ses cheveux, je masse son clitoris, elle ondule à mon rythme, s'empalant sur ma queue. Je l'embrasse dans le cou et je chuchote à son oreille : " tu es merveilleuse. " Elle se met à pousser des petits cris et nous jouissons tous les deux sur le sol, sous le regard de tous les autres.


En rentrant à la maison je me demande si le restaurant était vraiment chinois ou plutôt japonais ou vietnamien. On arrive dans le parc qu'on avait traversé à l'aller. Cathy me glisse à l'oreille :
- Ça me coule sur les cuisses.

samedi 13 août 2011

9 - Le chinois (1ère partie)

Ce soir on se paye un restau. Cet après-midi j'ai réservé dans un " chinois " au centre ville et nous nous y rendons à pied Cathy et moi.
Cathy a mis sa robe moulante noire, des collants noirs. Elle a maquillé ses jolis yeux verts et mis du rouge sur ses lèvres. J'aime cette fille. Elle a toujours un air de malice au fond des yeux et sur le plan sexuel on s'entend à merveille.
Pour aller en ville depuis chez nous, il faut traverser un parc. A cette heure-ci les enfants l'ont déserté et seuls quelques promeneurs se font apercevoir de temps à autre.
Je tiens la main de Cathy, j'ai croisé mes doigts avec les siens et je suis entièrement à ma rêverie lorsque je l’entends dire :
- viens, j'ai une petite envie !
Là-dessus elle m'entraîne derrière un buisson, jette des regards alentours et colle sa bouche contre la mienne. Nos langues se cherchent, se touchent, s'enroulent dans un long baiser langoureux.
Soudain je sens quelque chose contre ma braguette. La main de Cathy est descendue jusque là et elle masse mon sexe à travers l'épais tissu du jean. Je la laisse faire, c'est très agréable. Et puis la main ne caresse plus, elle ouvre la braguette et entre dans mon slip. Là je commence à m'inquiéter et sans rompre notre baiser, mes yeux inspectent les environs. Mais je sens la main de Cathy sur mon sexe et mes réticences commencent à s'éloigner. La main de Cathy est douce et chaude, elle caresse ma verge qui commence à gonfler sérieusement. Je soupire dans sa bouche et ça l'excite encore plus. Soudain elle m'échappe complètement. Elle s'est laissé tomber à genoux et entreprend de sortir mon sexe entièrement durci de sa prison de tissu, puis elle l'approche de ses lèvres et pose des baiser sur le bout de mon gland. Je bredouille :
- Non, quelqu'un pourrait venir ... arrête ... on n'a pas le temps ...
Mais je n'y crois pas moi-même et Cathy continue.
J'ai fermé les yeux et je sens maintenant sa langue se promener sur mon gland. Je sens ses lèvres à présent autour de ma hampe. 
Ma bite presque entière est dans le chaud et le mouillé, j'entends des petits bruits de succion et Cathy suce et suce toujours. Cette fille est un démon. Je l'adore.
- Attention ! Voilà quelqu'un !
J'ouvre les yeux, la chute est brutale. Cathy s'est relevée en rigolant et moi je me rajuste en vitesse. Puis nous sortons de notre cachette devant un couple de vieux et nous reprenons le chemin du restaurant.

Au restaurant la première salle est déjà pleine. Une serveuse, petite et menue, type asiatique, nous amène alors dans la petite salle du fond où il y a déjà un couple attablé. Elle nous place dans un coin, à côté des gens. C'est une table à quatre places avec une banquette d'un côté et deux chaises de l'autre. Les tables sont séparées par des paravents aux motifs asiatiques. Je me place sur la banquette, contre le mur et Cathy s'installe sur une chaise, dos à la salle. Nous demandons un apéritif et passons notre commande.
Le serveur, asiatique aussi, comme il se doit, est en train de poser les apéritifs sur notre table lorsque je sens quelque chose entre mes jambes. Cathy avançait son pied sur ma chaise et tâtait mon entrejambe du bout de ses orteils. Je regarde Cathy, un bout de langue sort de sa bouche et caresse sa lèvre supérieure. Sa main droite a disparu sous la table et je me doute de ce qu'elle peut faire en ce moment. Le garçon  finit de nous servir et s'en va. Il ne s'est aperçu de rien, ou du moins l'a-t-il laissé supposer.
Je jette un coup d'œil sous la table. La main de Cathy est bien là où je pensais : entre ses cuisses. Elle masse sa minette à travers les fins tissus. Puis je vois la main écarter le collant, entrer dans la culotte de nylon et je devine les doigts massant le clitoris. 
Je remonte à la surface au moment où le serveur apporte les entrées. La main de Cathy ne remonte pas. Elle continue sa caresse pendant que le jeune homme nous sert. Je n'arrive pas à y croire. Cette fille est en train de se masturber sous la table en plein restaurant, à côté du serveur !
Le garçon s'en va et nous commençons à manger. La main de Cathy est toujours sous la table et elle me regarde de ses beaux yeux verts en poussant des soupirs de plaisir. Ça m'excite terriblement, d'autant que son pied est toujours entre mes jambes et me masse le sexe. J'imagine, pendant qu'elle me regarde, ses doigts dans sa fente, sur son clitoris, peut-être même dans sa chatte. Au moment où j'imaginais cela, Cathy sort sa main de sous la table et la tend vers moi, le majeur pointé vers mes lèvres. Je sens son doigt : il a l'odeur de son sexe, alors je le prends dans ma bouche et le suce goulûment. Cathy retourne ce doigt humecté vers sa fente et reprend sa caresse. Et puis elle doit trouver que ce n'est pas assez. Elle avise la salière, posée au bord de la table. Une salière banale en verre avec un capuchon métallique et de forme conique, bien sûr. La salière disparaît sous la table et j'observe ma chérie. Elle me regarde avec un air de défi et tout à coup ses yeux s'écarquillent, sa bouche s'agrandit et elle fait un petit : " ah ! " je sais que l'objet est introduit. C'est à ce moment que le serveur apporte la suite. Il ne remarque pas la disparition de la salière. S'il savait le pauvre où elle se trouve sa salière en ce moment ! Dès qu'il est sorti Cathy reprend ses occupations. Je devine l'objet entrant et sortant de sa chatte, j'aimerais être à la place de cette salière. Cathy commence à souffler un peu fort. Elle se laisse aller à son plaisir, elle continue de se masturber sans se préoccuper du reste, et puis elle lâche un petit cri. A ce moment, deux têtes apparaissent de chaque côté du paravent. Ce sont nos voisins de table. Au bout d'un court instant d'hésitation, ayant compris la situation, monsieur demande, coquin :
- On peut vous aider ?
Avant que j’aie eu le temps de répondre quoi que ce soit, Cathy s'exclame :
- Oh oui ! C’est gentil !
Je suis sidéré.
Les gens se lèvent et nous rejoignent. Monsieur doit avoir la cinquantaine grisonnante et bedonnante, madame, dans les quarante-cinq, grassouillette avec une poitrine nourricière. Ils ont l'air un peu bourge, mais le genre à organiser des partouzes entre gens du monde.
Ils s'installent à notre table. Monsieur sur une chaise à côté de Cathy et madame sur la banquette à côté de moi. Monsieur ne perd pas de temps. Cette petite femelle en chaleur doit l'exciter à mort. Tu parles ! Il plonge la main sous la robe. Cathy retire son pied de ma chaise et écarte les cuisses pour accueillir le bonhomme. Le type a passé sa main dans le collant et la culotte pour atteindre la chatte. Il doit sentir le pubis doux et lisse comme une peau de bébé (Cathy s'est rasée de près ce matin) et en descendant plus bas pour toucher le sexe il doit trouver la salière à un endroit incongru pour un tel objet. Monsieur marque un petit temps de surprise, puis se fend d'un large sourire et je devine qu'il a pris la chose en main.
- Coquine, va !
Cathy se laisse faire, docile, les cuisses écartées, elle le regarde en souriant. Pendant ce temps madame a décidé de s'occuper de moi. Elle n'y va pas avec le dos de la cuillère. Elle a ouvert ma braguette et plongé sa main à l'intérieur. Elle me pétrit la queue et les couilles et je la sens de plus en plus excitée. Ma queue aussi d'ailleurs, qui commence à enfler entre les doigts experts de madame.
Le serveur entre à nouveau et tout le monde, instantanément, se rajuste en se donnant une contenance. Devant l'air surpris du garçon, nous expliquons que nous allons terminer le repas ensemble. Le jeune homme prend donc les couverts du couple et les place sur notre table. Dès qu'il est sorti, chacun reprend là où il en était avant l'interruption. Madame replonge sa main dans ma braguette et cette fois sort ma queue à l'air libre. Puis elle se précipite sous la table et je sens sa langue le long de ma hampe. Je bande à fond. Je pose mes mains sur la tête de cette femme que je ne connais pas et qui est en train de me sucer la bite. Je regarde en direction de Cathy. Elle tire de ses deux mains sur son collant et sa culotte et le type la branle toujours avec la salière. Elle a la tête renversée, les yeux fermés et le souffle rapide. Madame a pris ma bite dans sa bouche. Je me sens aspiré dans cette cavité tiède et mouillée. Je sens de la bave couler le long de ma verge, et sur mes testicules. Je tends ma main pour caresser les fesses de cette femme à moitié allongée sur la banquette. Dès qu'elle sent ma caresse, elle se positionne à genoux, le cul en l'air, tout en continuant de me pomper. Ses fesses sont dodues. Je soulève sa jupe et baisse sa culotte, puis j'explore son intimité. Sa chatte est broussailleuse et déjà toute mouillée. Je n'ai aucun mal à écarter ses lèvres intimes et à pousser un doigt à l'intérieur. La bourgeoise glousse avec toujours ma bite dans son gosier.
Ça bouge du côté de Cathy. Monsieur vient de reposer la salière sur la table et Cathy change de position. Elle se met à genoux sur sa chaise, les mains sur le dossier et tend ses fesses. Elle est complètement excitée. Monsieur relève la robe jusqu'à la ceinture, empoigne à deux mains le collant et la culotte et les descend jusqu'aux cuisses. Il profite un moment du spectacle de ce petit cul qui se tend vers lui. 
Il écarte les fesses, masse la vulve trempée de désir, caresse l'anus, puis il enfonce directement deux doigts et commence à branler la moule. Cathy gémit. J'ai la vision de son cul en face de moi et ça m'excite. Je plonge deux, puis trois doigts dans la chatte de madame qui glousse de plus en plus fort. Nous sommes tous dans un état d'excitation extrême, lorsque j'aperçois dans l'encadrement de la porte en face de moi, la silhouette de la petite serveuse qui nous avait placés en arrivant. Aussitôt elle fait demi-tour et s'enfuit en piaillant, pour revenir quelques instants après, suivie du patron des lieux. Le type reste médusé devant le tableau. C'est un petit homme trapu, petit ventre, d'une quarantaine d'année et l'air asiatique évidemment. Il reste planté quelques secondes puis éclate d'un rire jovial et s'avance vers nous. Il arrive tout de suite à la tête de Cathy, ouvre sa braguette, sort un sexe encore mou et l'introduit dans la bouche de ma copine qui ne demandait pas mieux. En même temps il lance quelques mots en chinois à la serveuse qui ferme la porte de la salle et s'avance vers nous, l'air éberlué. Pendant que ma Cathy suce la bite du chinois, le monsieur derrière elle se lève, descend son pantalon et approche son sexe durci de cette chatte qui lui tend les lèvres. Cathy sent le gland qui frappe à sa porte, elle se cambre davantage et le monsieur l'enfile d'un bon coup de reins.
Le patron lance à nouveau quelques mots à la serveuse qui s'approche de lui intimidée. Il soulève sa jupe plissée et introduit une main dans sa culotte, puis il masse doucement l’entrejambe. La petite se laisse faire. Elle est très jeune, dix-huit, dix-neuf ans tout au plus, et très jolie avec de longs cheveux noirs et lisses. Mon sexe est dur à éclater. Madame relève la tête vers moi et me demande gentiment :
- Baise-moi.
Je ne peux pas refuser une telle proposition. Je me lève et viens me placer sur la banquette, derrière elle. Elle n'a pas bougé de sa position : à genoux et ses grosses fesses en l'air. Je prends ma bite en main et je caresse sa vulve avec. Les poils de sa chatte sont trempés. Elle gémit en tortillant des fesses :
- Viens, viens vite !
Alors j'enfonce ma queue dans cette chatte impatiente et j'entends un léger : " oui " de satisfaction. Pendant que je la baise, la dame enlève son chemisier et son soutien-gorge. Maintenant ses seins pendent et balancent au rythme de mes coups de reins. Je m'allonge alors sur son dos et j'attrape ses mamelles à deux mains. Elles sont lourdes. Je les pétris en massant aussi les tétons. Ma bite s'active toujours en elle et elle commence à prendre son pied. Putain que cette femme est bonne !