dimanche 21 août 2011

10 - Le chinois (suite et fin)

La petite serveuse aussi a l'air de prendre son pied maintenant. Elle gigote sur la main de son patron. Elle a déboutonné son chemisier blanc et ses petits seins sont à l'air. Elle se pince les tétons et gémit doucement. Le patron, lui, se fait toujours pomper par Cathy mais à présent sa bite est raide et dure. Excité par son employée, il sort d'un coup de la bouche qui le suçait et attrape la petite par la taille. Il la place en face de Cathy les mains sur le dossier de la chaise, puis il enlève la petite culotte de coton blanc, lui fait écarter les jambes et promène sa queue sur cette jeune fente qui commence à mouiller. La petite respire vite, autant intimidée qu'excitée, elle attend la pénétration. Alors le patron lui enfonce sa queue et elle pousse un petit cri. Elle se penche en avant sur le dossier pour bien laisser pénétrer la bite en elle et sa tête se trouve à côté de celle de Cathy. Les deux petites nanas se regardent, complices. Elles semblent se dire : " elle est bonne ta bite ? " " oui elle est bonne, et la tienne ? " et puis, poussées par un même désir elles posent leurs lèvres l'une contre l'autre et commencent un long baiser langoureux. Ces filles sont merveilleuses ! Des hommes sont en train de les posséder et elles se passent des langues amoureuses.
Excité par le tableau, je ne peux m'empêcher de décharger tout au fond du con qui m'accueillait. Madame était en plein ciel. Elle se retourne et me fait : " déjà ? " Alors pour ne pas la laisser insatisfaite je me retire d'elle et avant qu'elle n'ait eu le temps de bouger, j'introduis trois doigts et commence à lui fouiller la moule. Madame semble satisfaite et murmure : " oui ... encore. " Sa chatte est grande ouverte et je nage dans mon sperme. Je décide de tenter un quatrième doigt, elle est lubrifiée à souhait. Le quatrième doigt entre sans problème. Je pousse à fond, les quatre doigts on disparu dans la fente. La dame tortille du cul en gémissant. Maintenant elle a posé sa tête sur le cuir de la banquette et s'écarte les fesses avec ses deux mains en me disant : " vas-y, rentre tout , " Oh putain, j'ai jamais fait ça ! Je rentre mon pouce au milieu des autres doigts et je pousse la main entière en la tournant légèrement pour écarter les parois. 
La femme tire sur ses cuisses, pousse sur sa chatte en râlant. Les autres nous regardent maintenant. Son mari, baisant toujours ma Cathy, l'encourage : " vas-y chérie, tu vas y arriver. " Je pousse encore en tortillant ma main qui se fraye un passage entre les chairs et finalement disparaît au fond du trou, entièrement avalée. Je n'en crois pas mes yeux : ma main est tout entière dans la chatte de cette femme. J'avance encore un peu et je rentre le début de l'avant bras. Je sens l'intérieur de son ventre sous mes doigts, les parois humides et plissées du vagin, je sens le col de l'utérus au fond. je sors ma main, je la rentre à nouveau, la ressors, la replonge dans des bruits de marécage. La chatte est complètement distendue. Je ferme le poing et commence à la bourrer sans retenue. La femme râle de plus en plus fort, elle s'est introduit deux doigts dans l'anus et se branle le cul à toute vitesse, puis elle s'exclame : " quelqu'un dans mon cul ... vite ! " le mari abandonne Cathy et se précipite sur sa femme. Il grimpe sur la banquette, se positionne au dessus de son cul et enfourne d'un coup sa bite jusqu'au fond. A cette pénétration, la femme jouit de tout son corps. Elle tremble de partout, ma main est trempée dans son sexe. Son mari continue de l'enculer et je sens sa bite contre mon poing. J'ouvre ma main à l'intérieur du vagin et je la tourne vers le haut. Je sens la queue me taper au bout des doigts. La bourgeoise se met à pleurer. De longs sanglots s'échappent d'elle. Je pense qu'elle vient de jouir comme jamais de sa vie. Son mari continue de l'enculer, moi je retire ma main et vais vers sa tête. Je caresse son dos et dépose un baiser sur sa joue. Lorsque son mari a fini par jouir au fond de son cul, elle s'effondre sur la banquette, anéantie.
Pendant ce temps-là il s'était passé des choses derrière nous. Cathy est entièrement nue maintenant et penchée en avant sur la table, elle offre ses fesses au patron qui lui lime la chatte. La petite est à côté d'elle, elle vient de ramasser une baguette sur la table et elle est en train de lui introduire dans l'anus. Cathy rigole à cette intrusion. Le patron rigole aussi. Tout en continuant à baiser, il parle en chinois et la serveuse ramasse d'autres baguettes qu'elle introduit aussi délicatement que possible pour ne pas faire mal. Cathy a maintenant six ou sept baguettes dans le cul, enfoncées d'une dizaine de centimètres et la queue du patron dans la chatte. Mais celui-ci se retire brusquement, au grand désarroi de Cathy, il lance encore quelques mots à la serveuse, remet son sexe dans son pantalon et sort en courant. La petite débarrasse notre table et secoue la nappe blanche. Cathy attend avec ses baguettes toujours fichées dans l'oignon. Le patron revient en refermant bien la porte derrière lui. Il a un gros paquet de baguettes dans les mains. Il  fait monter Cathy sur la table, à genou, les fesses en l'air puis assisté de sa serveuse, il commence à enfoncer les baguettes une à une. Il faut les enfiler par le milieu du fagot pour ne pas blesser l'anus et ça permet de tendre très progressivement le muscle anal. 
Je suis curieux de savoir combien Cathy peut accepter de ces baguettes. Le monsieur bourge fait le compte, on en est à dix-sept. Je m'approche de la serveuse, passe la main sous sa jupe et caresse ses fesses pendant qu'elle continue d'enfoncer les baguettes. La dame émerge de sa banquette. Elle se trouve nez à nez avec la tête de Cathy, alors elle s'assied en face d'elle et lui lèche le visage. Le monsieur compte vingt-cinq. C'est la taille d'une belle bite. A ce moment la porte s'ouvre. C'est le serveur qui doit s'impatienter. On le regarde tous. Il découvre le tableau : il a en face de lui le cul de ma nana que son patron et sa collègue bourrent de baguettes chinoises. Il ne peut retenir un cri d'étonnement, pas très fort mais suffisant pour rameuter les autres serveurs et puis des clients qui se précipitent. On entend des rires, des exclamations, des réflexions. Des gens entrent dans la salle, d'autres s'en vont, indignés. Il y a maintenant une trentaine de personne. Alors on  saisi Cathy par les cuisses, par les bras, on la soulève de table avec son paquet toujours dans le fion, on pousse les tables et on l'installe dans la même position par terre, au milieu de la salle. Les gens se mettent en cercle pour assister au spectacle. Cathy jubile. Tous ces gens pour l'admirer ! Elle tend encore plus sont petit cul et ronronne comme une chatte. Le monsieur annonce trente-huit, quarante-deux, quarante-neuf. Cathy gémit, ça doit commencer à tirer un peu. La petite chinoise s'est agenouillée derrière les fesses de Cathy pour continuer son travail alors je caresse sa fente en regardant le cul de ma copine avaler toutes ces tiges. C'est un beau fagot qui lui sort du cul maintenant. Je rentre un doigt dans la chatte de la petite qui est toute mouillée. Cinquante-sept, les gens applaudissent. Cathy souffle, elle commence à avoir mal. Le patron continue, il masse en même temps le muscle tout autour du fagot pour le détendre. Soixante-deux, ça doit bien faire dans les cinq centimètres de diamètre. La serveuse arrête le jeu. Elle va à la tête de Cathy se met à genoux devant elle et elles recommencent à s'embrasser langoureusement. Ensuite la petite dans cette position tourne la tête vers moi, soulève sa jupe et me tend ses fesses. Je ne résiste pas à l'invitation, je la pénètre en douceur.
 Autour de nous des hommes ont sorti leur sexe et se masturbent, des femmes se pétrissent les seins, certaines ont des mains d'hommes dans leur culotte. Soixante-six. Cathy commence à souffrir. Elle se tient maintenant les fesses à deux mains, la tête posée sur le lino, elle s'écarte au maximum. Elle entend autour d'elle : " poussez ... poussez ! " Je ne sais pas si ces encouragements s'adressent au patron ou à Cathy. Je continue de baiser la petite chinoise. Elle a retiré son chemisier et remonté son buste contre moi. Je masse ses petits seins pointus. Elle se cambre et se met à bouger elle-même sur ma queue en gémissant d'une petite voix fluette. Soixante et onze, Cathy souffle en serrant les dents. Des gens se sont approchés d'elle. On la caresse, on lui tient les mains, on lui écarte les fesses, une jeune femme est même en train de lui masser le clitoris par en-dessous. Le patron bouge le fagot dans le trou pour continuer de détendre, et il continue d'enfoncer. Soixante-quatorze, un type ne tient plus, il éjacule sur le dos de Cathy. Soixante-quinze, ma petite chinoise s'est remise en levrette. Elle pose des baisers sur la joue de Cathy, dans son cou, sur ses lèvres. Ma parole, cette fille est amoureuse de ma nana. Je salive dans mes doigts et commence à lui masser son petit trou. Elle frémit. Soixante-seize. Je pousse un doigt à l'intérieur de l'anus. La petite pousse un petit cri de surprise. Soixante-dix-sept. Je dilate le petit anus devant moi. Soixante-dix-huit. Je sors ma queue toute mouillée de la jeune chatte et j'appuie mon gland sur l'anus. Elle me dit :
- S'il vous plait, non, je ne l'ai jamais fait par là !
- N'aies pas peur je vais faire doucement
- Non, s'il vous plait !
Soixante-dix-neuf. Je pousse tout doucement en massant l'anus du bout du gland. J'entends Cathy qui râle : " ça fait mal ! " Quatre-vingt. Je pousse fort, le gland entre, la chinoise crie et veut s'échapper, mais je la tiens ferme par les hanches et je continue de pousser. Quatre-vingt-un. Cathy et la chinoise ont la tête sur le lino toutes les deux. Leurs bouches se frôlent et elles râlent ensemble. Quatre-vingt-deux. J'enfonce tout doucement ma bite jusqu'au bout en donnant des petits à-coups, la petite pousse un long cri et je commence à la sodomiser pendant qu'un autre mec lâche sa purée sur les reins de Cathy. Quatre-vingt-trois, Cathy n'en peut plus. Elle supplie qu'on arrête :
- Enlevez-les, ça fait trop mal !
Mais le patron répond :
- Attendez, pas tout de suite.
Il part en courant et revient quelques instant plus tard avec un appareil photo. Il commence à immortaliser l'exploit. Cathy fait sa star et prend des poses devant l'objectif, oubliant presque sa douleur. Montrant son cul à tout le monde, elle le tourne enfin vers moi, fièrement pour me faire admirer le résultat. Hommes et femmes regardent la scène en se masturbant : ma Cathy toute nue par terre, les fesses en l'air avec quatre-vingt-trois baguettes de bois enfoncées dans le cul.
Moi je suis toujours dans celui de ma petite asiate et je la sodomise tout doucement, lentement, presque affectueusement. C'est un régal. Je sens son anus étroit me serrer la verge. Le plaisir de se savoir le premier. La petite a toujours la tête au sol et a fermé les yeux. Ses mains sont entre ses cuisses et elle se touche délicatement le clitoris. Elle murmure des petits mots en chinois. Elle a l'air de prendre goût à ce que je lui fait.
Le patron a fini de mitrailler. Pendant qu'un autre monsieur tient les fesses de Cathy écartées, il empoigne le fagot de baguettes et tire dessus doucement.
- Poussez !
On se croirait dans une salle d'accouchement. Ma nana est en train d'accoucher par le cul d'un énorme bout de bois. Si c'est un garçon on l'appellera Pinocchio !
Cathy pousse un bon coup et le fagot jaillis de son cul. C'est énorme. Elle a un cratère entre les fesses. 
Les femmes écarquillent les yeux, incrédules, les hommes s'excitent, tout le monde veut aller gicler dans ce trou béant. Il faut faire vite avant que l'anus ne se referme. Cathy se prête au jeu, elle colle sa tête par terre et monte ses fesses au maximum, son anus est quasiment à la verticale. Le monsieur lui tient toujours bien écartelé, et les premières giclées commencent à arriver. Le sperme lui entre dans le rectum. Les hommes se bousculent, chacun veut sa part, les femmes contemplent en se masturbant. Des grappes d'hommes giclent tour à tour. Ça entre dans les entrailles, ça dégouline, ça gicle sur les fesses pour s'écouler lentement dans le trou. Quelqu'un a mis quatre doigts pour écarteler l'anus qui voulait se refermer et on continue de gicler dedans. Cathy râle de bonheur en se masturbant le clitoris. Tous ces hommes qui éjaculent dans ses entrailles sans la toucher. Je crois qu'elle est en train de jouir. Le patron vient éjaculer à son tour, il est le dernier. Ensuite hommes et femmes veulent profiter encore, avant que le muscle ne se referme. On vient toucher, on enfonce des doigts, on malaxe, on tripote. Cathy se laisse faire, elle est heureuse, son anus se referme sur des litres de foutre qu'elle veut garder en elle.
Ma petite chinoise et moi avons contemplé la scène, toujours emboîtés l'un dans l'autre. Je la relève contre moi pour encore caresser ses seins. Elle gémit doucement, se donne à moi. Elle se cambre et accroche ses mains à mon cou, par derrière. Je caresse sa poitrine, je pince ses tétons, je passe mes doigts dans son pubis soyeux comme ses cheveux, je masse son clitoris, elle ondule à mon rythme, s'empalant sur ma queue. Je l'embrasse dans le cou et je chuchote à son oreille : " tu es merveilleuse. " Elle se met à pousser des petits cris et nous jouissons tous les deux sur le sol, sous le regard de tous les autres.


En rentrant à la maison je me demande si le restaurant était vraiment chinois ou plutôt japonais ou vietnamien. On arrive dans le parc qu'on avait traversé à l'aller. Cathy me glisse à l'oreille :
- Ça me coule sur les cuisses.

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