samedi 13 août 2011

9 - Le chinois (1ère partie)

Ce soir on se paye un restau. Cet après-midi j'ai réservé dans un " chinois " au centre ville et nous nous y rendons à pied Cathy et moi.
Cathy a mis sa robe moulante noire, des collants noirs. Elle a maquillé ses jolis yeux verts et mis du rouge sur ses lèvres. J'aime cette fille. Elle a toujours un air de malice au fond des yeux et sur le plan sexuel on s'entend à merveille.
Pour aller en ville depuis chez nous, il faut traverser un parc. A cette heure-ci les enfants l'ont déserté et seuls quelques promeneurs se font apercevoir de temps à autre.
Je tiens la main de Cathy, j'ai croisé mes doigts avec les siens et je suis entièrement à ma rêverie lorsque je l’entends dire :
- viens, j'ai une petite envie !
Là-dessus elle m'entraîne derrière un buisson, jette des regards alentours et colle sa bouche contre la mienne. Nos langues se cherchent, se touchent, s'enroulent dans un long baiser langoureux.
Soudain je sens quelque chose contre ma braguette. La main de Cathy est descendue jusque là et elle masse mon sexe à travers l'épais tissu du jean. Je la laisse faire, c'est très agréable. Et puis la main ne caresse plus, elle ouvre la braguette et entre dans mon slip. Là je commence à m'inquiéter et sans rompre notre baiser, mes yeux inspectent les environs. Mais je sens la main de Cathy sur mon sexe et mes réticences commencent à s'éloigner. La main de Cathy est douce et chaude, elle caresse ma verge qui commence à gonfler sérieusement. Je soupire dans sa bouche et ça l'excite encore plus. Soudain elle m'échappe complètement. Elle s'est laissé tomber à genoux et entreprend de sortir mon sexe entièrement durci de sa prison de tissu, puis elle l'approche de ses lèvres et pose des baiser sur le bout de mon gland. Je bredouille :
- Non, quelqu'un pourrait venir ... arrête ... on n'a pas le temps ...
Mais je n'y crois pas moi-même et Cathy continue.
J'ai fermé les yeux et je sens maintenant sa langue se promener sur mon gland. Je sens ses lèvres à présent autour de ma hampe. 
Ma bite presque entière est dans le chaud et le mouillé, j'entends des petits bruits de succion et Cathy suce et suce toujours. Cette fille est un démon. Je l'adore.
- Attention ! Voilà quelqu'un !
J'ouvre les yeux, la chute est brutale. Cathy s'est relevée en rigolant et moi je me rajuste en vitesse. Puis nous sortons de notre cachette devant un couple de vieux et nous reprenons le chemin du restaurant.

Au restaurant la première salle est déjà pleine. Une serveuse, petite et menue, type asiatique, nous amène alors dans la petite salle du fond où il y a déjà un couple attablé. Elle nous place dans un coin, à côté des gens. C'est une table à quatre places avec une banquette d'un côté et deux chaises de l'autre. Les tables sont séparées par des paravents aux motifs asiatiques. Je me place sur la banquette, contre le mur et Cathy s'installe sur une chaise, dos à la salle. Nous demandons un apéritif et passons notre commande.
Le serveur, asiatique aussi, comme il se doit, est en train de poser les apéritifs sur notre table lorsque je sens quelque chose entre mes jambes. Cathy avançait son pied sur ma chaise et tâtait mon entrejambe du bout de ses orteils. Je regarde Cathy, un bout de langue sort de sa bouche et caresse sa lèvre supérieure. Sa main droite a disparu sous la table et je me doute de ce qu'elle peut faire en ce moment. Le garçon  finit de nous servir et s'en va. Il ne s'est aperçu de rien, ou du moins l'a-t-il laissé supposer.
Je jette un coup d'œil sous la table. La main de Cathy est bien là où je pensais : entre ses cuisses. Elle masse sa minette à travers les fins tissus. Puis je vois la main écarter le collant, entrer dans la culotte de nylon et je devine les doigts massant le clitoris. 
Je remonte à la surface au moment où le serveur apporte les entrées. La main de Cathy ne remonte pas. Elle continue sa caresse pendant que le jeune homme nous sert. Je n'arrive pas à y croire. Cette fille est en train de se masturber sous la table en plein restaurant, à côté du serveur !
Le garçon s'en va et nous commençons à manger. La main de Cathy est toujours sous la table et elle me regarde de ses beaux yeux verts en poussant des soupirs de plaisir. Ça m'excite terriblement, d'autant que son pied est toujours entre mes jambes et me masse le sexe. J'imagine, pendant qu'elle me regarde, ses doigts dans sa fente, sur son clitoris, peut-être même dans sa chatte. Au moment où j'imaginais cela, Cathy sort sa main de sous la table et la tend vers moi, le majeur pointé vers mes lèvres. Je sens son doigt : il a l'odeur de son sexe, alors je le prends dans ma bouche et le suce goulûment. Cathy retourne ce doigt humecté vers sa fente et reprend sa caresse. Et puis elle doit trouver que ce n'est pas assez. Elle avise la salière, posée au bord de la table. Une salière banale en verre avec un capuchon métallique et de forme conique, bien sûr. La salière disparaît sous la table et j'observe ma chérie. Elle me regarde avec un air de défi et tout à coup ses yeux s'écarquillent, sa bouche s'agrandit et elle fait un petit : " ah ! " je sais que l'objet est introduit. C'est à ce moment que le serveur apporte la suite. Il ne remarque pas la disparition de la salière. S'il savait le pauvre où elle se trouve sa salière en ce moment ! Dès qu'il est sorti Cathy reprend ses occupations. Je devine l'objet entrant et sortant de sa chatte, j'aimerais être à la place de cette salière. Cathy commence à souffler un peu fort. Elle se laisse aller à son plaisir, elle continue de se masturber sans se préoccuper du reste, et puis elle lâche un petit cri. A ce moment, deux têtes apparaissent de chaque côté du paravent. Ce sont nos voisins de table. Au bout d'un court instant d'hésitation, ayant compris la situation, monsieur demande, coquin :
- On peut vous aider ?
Avant que j’aie eu le temps de répondre quoi que ce soit, Cathy s'exclame :
- Oh oui ! C’est gentil !
Je suis sidéré.
Les gens se lèvent et nous rejoignent. Monsieur doit avoir la cinquantaine grisonnante et bedonnante, madame, dans les quarante-cinq, grassouillette avec une poitrine nourricière. Ils ont l'air un peu bourge, mais le genre à organiser des partouzes entre gens du monde.
Ils s'installent à notre table. Monsieur sur une chaise à côté de Cathy et madame sur la banquette à côté de moi. Monsieur ne perd pas de temps. Cette petite femelle en chaleur doit l'exciter à mort. Tu parles ! Il plonge la main sous la robe. Cathy retire son pied de ma chaise et écarte les cuisses pour accueillir le bonhomme. Le type a passé sa main dans le collant et la culotte pour atteindre la chatte. Il doit sentir le pubis doux et lisse comme une peau de bébé (Cathy s'est rasée de près ce matin) et en descendant plus bas pour toucher le sexe il doit trouver la salière à un endroit incongru pour un tel objet. Monsieur marque un petit temps de surprise, puis se fend d'un large sourire et je devine qu'il a pris la chose en main.
- Coquine, va !
Cathy se laisse faire, docile, les cuisses écartées, elle le regarde en souriant. Pendant ce temps madame a décidé de s'occuper de moi. Elle n'y va pas avec le dos de la cuillère. Elle a ouvert ma braguette et plongé sa main à l'intérieur. Elle me pétrit la queue et les couilles et je la sens de plus en plus excitée. Ma queue aussi d'ailleurs, qui commence à enfler entre les doigts experts de madame.
Le serveur entre à nouveau et tout le monde, instantanément, se rajuste en se donnant une contenance. Devant l'air surpris du garçon, nous expliquons que nous allons terminer le repas ensemble. Le jeune homme prend donc les couverts du couple et les place sur notre table. Dès qu'il est sorti, chacun reprend là où il en était avant l'interruption. Madame replonge sa main dans ma braguette et cette fois sort ma queue à l'air libre. Puis elle se précipite sous la table et je sens sa langue le long de ma hampe. Je bande à fond. Je pose mes mains sur la tête de cette femme que je ne connais pas et qui est en train de me sucer la bite. Je regarde en direction de Cathy. Elle tire de ses deux mains sur son collant et sa culotte et le type la branle toujours avec la salière. Elle a la tête renversée, les yeux fermés et le souffle rapide. Madame a pris ma bite dans sa bouche. Je me sens aspiré dans cette cavité tiède et mouillée. Je sens de la bave couler le long de ma verge, et sur mes testicules. Je tends ma main pour caresser les fesses de cette femme à moitié allongée sur la banquette. Dès qu'elle sent ma caresse, elle se positionne à genoux, le cul en l'air, tout en continuant de me pomper. Ses fesses sont dodues. Je soulève sa jupe et baisse sa culotte, puis j'explore son intimité. Sa chatte est broussailleuse et déjà toute mouillée. Je n'ai aucun mal à écarter ses lèvres intimes et à pousser un doigt à l'intérieur. La bourgeoise glousse avec toujours ma bite dans son gosier.
Ça bouge du côté de Cathy. Monsieur vient de reposer la salière sur la table et Cathy change de position. Elle se met à genoux sur sa chaise, les mains sur le dossier et tend ses fesses. Elle est complètement excitée. Monsieur relève la robe jusqu'à la ceinture, empoigne à deux mains le collant et la culotte et les descend jusqu'aux cuisses. Il profite un moment du spectacle de ce petit cul qui se tend vers lui. 
Il écarte les fesses, masse la vulve trempée de désir, caresse l'anus, puis il enfonce directement deux doigts et commence à branler la moule. Cathy gémit. J'ai la vision de son cul en face de moi et ça m'excite. Je plonge deux, puis trois doigts dans la chatte de madame qui glousse de plus en plus fort. Nous sommes tous dans un état d'excitation extrême, lorsque j'aperçois dans l'encadrement de la porte en face de moi, la silhouette de la petite serveuse qui nous avait placés en arrivant. Aussitôt elle fait demi-tour et s'enfuit en piaillant, pour revenir quelques instants après, suivie du patron des lieux. Le type reste médusé devant le tableau. C'est un petit homme trapu, petit ventre, d'une quarantaine d'année et l'air asiatique évidemment. Il reste planté quelques secondes puis éclate d'un rire jovial et s'avance vers nous. Il arrive tout de suite à la tête de Cathy, ouvre sa braguette, sort un sexe encore mou et l'introduit dans la bouche de ma copine qui ne demandait pas mieux. En même temps il lance quelques mots en chinois à la serveuse qui ferme la porte de la salle et s'avance vers nous, l'air éberlué. Pendant que ma Cathy suce la bite du chinois, le monsieur derrière elle se lève, descend son pantalon et approche son sexe durci de cette chatte qui lui tend les lèvres. Cathy sent le gland qui frappe à sa porte, elle se cambre davantage et le monsieur l'enfile d'un bon coup de reins.
Le patron lance à nouveau quelques mots à la serveuse qui s'approche de lui intimidée. Il soulève sa jupe plissée et introduit une main dans sa culotte, puis il masse doucement l’entrejambe. La petite se laisse faire. Elle est très jeune, dix-huit, dix-neuf ans tout au plus, et très jolie avec de longs cheveux noirs et lisses. Mon sexe est dur à éclater. Madame relève la tête vers moi et me demande gentiment :
- Baise-moi.
Je ne peux pas refuser une telle proposition. Je me lève et viens me placer sur la banquette, derrière elle. Elle n'a pas bougé de sa position : à genoux et ses grosses fesses en l'air. Je prends ma bite en main et je caresse sa vulve avec. Les poils de sa chatte sont trempés. Elle gémit en tortillant des fesses :
- Viens, viens vite !
Alors j'enfonce ma queue dans cette chatte impatiente et j'entends un léger : " oui " de satisfaction. Pendant que je la baise, la dame enlève son chemisier et son soutien-gorge. Maintenant ses seins pendent et balancent au rythme de mes coups de reins. Je m'allonge alors sur son dos et j'attrape ses mamelles à deux mains. Elles sont lourdes. Je les pétris en massant aussi les tétons. Ma bite s'active toujours en elle et elle commence à prendre son pied. Putain que cette femme est bonne !

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