4 - Le rêve de Cathy

Ce matin je suis réveillé avant Cathy. Comme souvent d'ailleurs. Elle dort à côté de moi, en chien de fusil et me tourne le dos. On a fait l'amour tard hier soir mais j'ai encore envie d'elle. Je commence à caresser ses hanches, ses fesses, je descends vers son sexe endormi. Je passe ma main sur sa fente, elle est douce et tiède. Je la caresse un moment du bout des doigts et puis je la sens devenir moite et de plus en plus humide. Cathy dort toujours et je fais doucement pour ne pas la réveiller. J'écarte ses lèvres intimes et je masse lentement sa vulve. Mon sexe se met à gonfler. J'enfonce un doigt et je le bouge doucement dans sa chatte. Cathy soupire et grommelle quelque chose que je ne comprends pas et puis toujours dans son sommeil elle ramène davantage ses jambes contre elle pour dégager son sexe. Ma queue est fièrement dressée et je frotte mon gland dans sa fente maintenant très mouillée. J'adore prendre Cathy dans son sommeil : quoi de plus beau que de se réveiller en faisant l'amour. Alors je positionne mon gland et je la pénètre tendrement. Je commence à bouger en elle et tout à coup Cathy se réveille en sursaut. Elle se retourne et me dit :

- ah c'est toi ?

-  ben qui veux-tu que ce soit ?

- Mais non, mais je faisais un rêve

Comme elle se laisse faire je continue de bouger en elle et je lui demande :

- C'est quoi ce rêve

- Oh ! c'est un rêve cochon ! ... continue, c'est bon.

- Ben vas-y, raconte.

Et Cathy commence à me raconter son rêve :

" J'étais au boulot, dans la salle de réunion et il y avait toute l'équipe des commerciaux plus plein de mecs que je ne connaissais pas. Des clients sans doute. En tout il y avait bien une vingtaine de personnes et que des mecs. Je ne sais pas ce que j'avais fait comme connerie mais Martial (Martial c'est le patron de Cathy) était en train de dire que j'avais fait une bêtise et qu'il fallait me punir. Ensuite il m'a mise dos à la salle, m'a fait pencher en avant, il a levé ma jupe, baissé ma culotte et il a commencé à me mettre une fessée devant tout le monde. J'avais honte. Tous ces mecs voyaient mes fesses et je les entendais rigoler derrière moi. 

 La fessée a duré un moment. Mes fesses me brûlaient et je voulais que ça s'arrête. Mais ensuite Martial m'a assise sur son bureau, face à la salle. Il a retiré ma petite culotte et m'a ouvert les cuisses pour montrer ma chatte à tout le monde. " Oh ! mais c'est une jolie petite chatte toute rasée ! mais il faut la punir aussi." J'étais furieuse mais il a appelé deux commerciaux qui se sont mis de chaque côté de moi, m'ont basculée en arrière et m'ont tenu les cuisses écartées. Ensuite Martial s'est mis à me taper sur la chatte avec sa main. Doucement au début et puis de plus en plus fort. Tout le monde riait et moi je me débattais et je criais mais je ne pouvais pas fermer mes jambes, les commerciaux me tenaient ferme. Il a tapé, tapé sur ma chatte, sur mon clitoris et ça me faisait mal, ma minette était en feu, j'avais l'intérieur des cuisses tout rouge. Et puis il s'est arrêté de taper et il a dit : " cette petite minette a trop chaud, il faut la rafraîchir. " Et il s'est placé entre mes jambes et il a commencé à lécher ma chatte brûlante. Sa langue était fraîche, ça me faisait du bien. Il léchait partout, y compris sur mon clitoris et je me sentais excitée malgré moi, alors je serrais les dents. Ensuite il s'est levé et il a dit : " au suivant, il y en aura pour tout le monde. " Et tous les mecs se sont approchés et ont fait la queue devant ma chatte. Ils l'ont tous léchée à tour de rôle, j'étais humiliée. Les deux mecs qui me tenaient les cuisses, pendant ce temps-là avaient levé mon tee-shirt pour me mettre les seins à l'air et ils les pelotaient sauvagement, ils me trituraient les tétons avec force. Une fois que tout le monde m'a eu bien léché la chatte, Martial a dit : " il faut la foutre à poil ! " Alors tout le monde s'est mis à gueuler : " oui ! à poil ! à poil ! " et je me suis retrouvée entièrement nue au milieu de tous ces mecs en costards. Ensuite Martial a repris la parole : " Messieurs, sortez vos engins." Alors ils ont tous sortis leur queue et ils m'ont mise à quatre pattes sur le bureau, la tête en bas, face à la salle, et les fesses bien en l'air. Ils ont trouvé un rouleau de ruban adhésif, alors ils m'ont mis les mains dans le dos et ils m'ont scotché les poignets. La file indienne s'est reformée mais cette fois-ci chacun me mettait sa bite dans la bouche et il fallait que je la suce. En même temps Martial avait recommencé à me taper sur le cul. Les deux types de chaque côté m'écartaient les fesses et lui il tapait bien au milieu, sur mon anus et sur ma fente. Sa main claquait sur mes fesses et ça faisait un bruit qui résonnait dans toute la salle. Ça recommençait à me cuire et je vis tout à coup arriver une chose énorme. C'était une queue noire qui appartenait à Marcel, un grand black de la boite que je croise tous les jours dans les couloirs. Elle faisait au moins trente centimètres de long et six de large, une bite qu'on voit que dans ses rêves. "

- Ben justement ma chérie, c'était un rêve.

J'étais toujours derrière elle et je la baisais doucement en l'écoutant :

 " Donc je voyais arriver cette bite de cheval et il fallait que je la suce aussi. Le type a à peine réussi à mettre le gland dans ma bouche et je le tétais comme une grosse tétine. 

Et puis j'ai senti quelque chose se poser sur mon anus et forcer le passage. C'était Martial qui avait trouvé une balayette avec un manche en bois rond et qui me l'enfonçait dans le fion en gueulant : " dans le cul la balayette ! " Tout le monde s'est mis à rire et moi j'avais des larmes de honte qui me coulaient sur les joues. Mes mains attachées, toutes ces bites que je suçais et puis la balayette qui me fouillait le cul. Ensuite Martial a dit : " Mais c'est trop petit pour elle, il faut lui donner du plus gros. "

- Attends, viens sur moi, me dit Cathy.

Elle veut changer de position. Elle se met sur le dos et m'ouvre ses cuisses. Je m'allonge sur elle, pose ma tête au creux de son épaule et je la pénètre tandis qu'elle reprend le fil de son récit tout près de mon oreille:

" Alors ils m'ont jetée par terre, m'ont remise à quatre pattes, et Martial s'est approché. Il s'est placé au-dessus de mes fesses et s'est enfoncé dans mon cul à grands coups, sans aucune préparation et j'ai poussé un grand cri de douleur. Il s'est mis à me pistonner à toute force. Son bas-ventre tapait sur mes fesses, ses couilles cognaient contre ma chatte. Je ne pouvais pas poser mes mains par terre, elles étaient toujours attachées dans mon dos. J'étais obligée de poser la tête par terre et comme ça j'avais les fesses bien en l'air. Et puis un autre a pris la place de Martial et ils m'ont tous enculée comme une chienne au milieu de la salle. Tous, l'un après l'autre, ils sont venus planter leur bite dans mon trou du cul et me pistonner à fond. Moi je gueulais et je les insultais, mais ça devait les exciter davantage. Cependant ils avaient gardé le meilleur pour la fin. Soudain je les entends qui scandent : " Mar-cel ! Ma-rcel ! ... " Oh non ! pas lui ! Je l'avais complètement oublié celui-là. Marcel est venu poser son énorme gland sur mon anus déjà bien endolori et il a commencé à pousser fort. Mais ça ne voulait pas entrer, alors on s'est précipité sur moi, on me tenait par le bassin, on m'écartait les fesses, on me crachait sur l'anus. Et Marcel a repris sa place, il a roulé son énorme gland dans toute cette bave qui me dégoulinait le long des cuisses et il s'est remis à pousser fort. Tout le monde l'encourageait, et soudain le gland a réussi à entrer. J'ai senti mon anus prêt à se rompre. La queue entrait en moi progressivement et je me suis mise à hurler de douleur et de honte. 

Marcel a rentré toute sa bite et je sentais son gland me pousser les intestins. J'avais mal tout autour de mon anus et Marcel m'a cramponnée par les hanches et il a commencé a me sodomiser. Je sentais toute la longueur de sa queue pénétrer en moi, et puis il sortait entièrement et replongeait tout jusqu'aux couilles. Il prenait plaisir à m'enfoncer sa bite lentement pour bien me la faire sentir. Les autres étaient devenus silencieux, ils regardaient mon anus distendu engloutir cette queue de géant. Ensuite il y a quelqu'un qui s'est placé devant moi et qui m'a levé la tête en me tirant par les cheveux. De l'autre main il se branlait devant ma figure et j'ai vu le jet de sperme m'arriver tout droit dans la gueule. Quand il a eu fini, Marcel m'a relevée contre lui pour me peloter les seins pendant qu'il m'enculait. L'autre type me tenait toujours par les cheveux et les autres se sont approchés autour de moi. Ils se sont mis à me gicler dessus. Tous, ils ont envoyé leur foutre dans ma figure. J'en avais partout, ça me dégoulinait sur les yeux, la bouche, dans les oreilles, dans le cou, j'en avais plein sur les seins et sur le ventre. Marcel m'enculait de plus en plus fort, excité par tout ce foutre. Et puis sa queue s'est plantée fort tout au fond de moi, je l'ai sentie palpiter et Marcel a lâché sa purée dans mes intestins. Ensuite ils sont tous sortis en me laissant par terre nue, toujours les mains attachées et pleine de sperme. Je me suis écroulée au sol et je me suis mise à pleurer. Ensuite j'ai senti une main qui me caressait la chatte et puis une queue qui entrait en moi, et c'était toi qui me réveillait."

Je ne peux plus me retenir. Cette histoire m'a complètement excité, je jouis au fond de Cathy tandis qu'elle me dit :

- Bon, il faut que j'aille au travail ... J'espère que je ne ferai pas de bêtise !

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Quelques spécimens de belles queues noires !

Ch'en bave tellement ch'est bon !

Et vous savez où il veut me la mettre ?

Si je me la mets dans le cul il va me gicler dans l'estomac !

 Heureusement que j'ai une chatte extra-large !

 J'la paye 5 $ le centimètre, c'est pas donné mais c'est ce qu'il faut pour un bon ramonage !

ça fait deux jours qu'il me baise avec sa grosse bite ! Moi tout ce que je veux maintenant c'est dormiiiiiiiir !

Hé les jalouses, prenez des photos, c'est pas tous les jours qu'on en a une comme ça dans la chatte !

Aïe ! Mais tu m'avais pas dit que t'en avais une si grosse !

  Finalement, une fois que c'est rentré c'est le panard !

 

3 - Le colis

Aujourd'hui Cathy attend un colis par la poste. A l'heure où le facteur va passer, elle me demande d'entrer dans notre chambre, la porte entrouverte et d'observer sans rien dire. Cathy a mis son chemisier rouge, dont elle a laissé la moitié des boutons ouverts et sa mini-jupe de cuir noir que je trouve personnellement très sexy. Quelques instants plus tard, on sonne à la porte ... c'est le facteur. Cathy va ouvrir, fait entrer le préposé jusqu'à la table du salon pour signer le récépissé. Je la vois se pencher exagérément sous l'œil du bonhomme qui ne doit pas en perdre une miette. Et puis voilà ma nana qui se trémousse, qui chuchote des choses que je n'entends pas mais dont je devine la teneur. Bingo ! Quelques secondes plus tard, ma Cathy tourne le dos au facteur et se penche en avant, les avant-bras posés sur la table et cambre ses reins. Le facteur a laissé tomber sa sacoche. Il soulève la jupe de cuir noir et tend les mains vers ce cul qui s'offre à lui. Il pétrit les globes, d'abord, puis baisse la culotte sous les fesses et passe une main dans la raie. Cathy écarte les cuisses pour s'offrir à la caresse.

-Tu mouilles hein ! Petite salope.

Le type se croyant seul commence à lâcher son vocabulaire.

-Oh ! Oui, vous me faites mouiller.

-T'aimerais que je t'enfile un doigt, hein ?

-Oh ! non, mettez-en deux.

-Deux doigts ? T'es une petite gourmande toi. Mais tu as raison, le facteur donne toujours deux doigts.

Le facteur enfonce deux doigts dans la chatte de Cathy qui pousse un gémissement de plaisir.

-T'es une vraie petite pute hein ? T'aimes ça te faire baiser par n'importe qui.

-Oh ! Oui j'aime qu'on me baise. Fouillez-moi bien la chatte.

Le facteur maintenant a mis trois doigts et il les enfonce en tournant dans la chatte de Cathy, qui gémit de plus en plus fort.

-Je vais te mettre ma queue, hein ? Dis-moi que tu veux que je te mette ma queue.

-Oui, mettez-moi votre queue, bourrez-moi la chatte.

Le facteur a sorti sa bite et se frotte le gland contre la vulve, puis il l'entre entièrement d'un bon coup de reins. Cathy s'affale sur la table en poussant un petit cri. La bite du facteur lui visite le vagin et elle se donne entièrement à cette visite gratuite.

-    Elle est bonne ta chatte.

-          Oui ! votre queue aussi elle est bonne … Oh ! je la sens … Oh ! c’est bon, une bonne bite dans la chatte !

-          Après ça je vais te la mettre dans le cul. Tu veux que je te l'enfonce dans le cul, hein ?

-          Oh oui ! enculez-moi !

-          T’aimes ça qu’on te prenne par le cul, hein ?

-          Oui ! dans mon trou du cul !

-          Bonjour facteur !

Je viens d'entrer dans la pièce, le sourire aux lèvres. Le mec est sorti d'un coup de ma copine, il cache son sexe dans ses mains et essaie de rentrer sous terre.

-Je vous en prie, continuez.

-Oh, oui ! Continuez, je vous en prie, reprend Cathy, toujours affalée sur la table, la culotte au milieu des cuisses. C'était si bon.

-Euh ! Non, je ... c'est à dire que j'ai ma tournée à terminer.

-Et bien, terminez-là et revenez nous voir après.

-Oui, c'est ça, revenez après.

-Euh, je ne sais pas ... peut-être.

Là-dessus le facteur se rhabille en quatrième vitesse et sort. Cathy remonte sa culotte et moi j'avise le colis sur la table.

-C'est quoi ce colis ?

-Ça, c'est une surprise. Va dans la chambre.

J'entends Cathy qui ouvre le colis, des bruits de carton, de boites qu'on ouvre et elle qui glousse.

Puis elle entre dans la chambre avec son paquet s'allonge sur le lit et sort de la boite un vibromasseur. Elle met la chose en marche, soulève sa jupe, écarte les cuisses et commence à se le passer entre les jambes à travers la culotte. Elle soupire en se laissant aller à cette caresse. Moi je la regarde et ça m'excite.

-viens ! Me dit-elle, prends-le, caresse-moi avec.

Je déboutonne son chemisier, prends l'objet et le pose sur un téton. Cathy soupire doucement. Puis je passe à l'autre téton. 

 Ses deux petites pointes sont maintenant toutes dures et fièrement dressées. Ensuite Cathy me tourne le dos, elle s'allonge sur le côté, en chien de fusil. Je baisse un peu sa culotte pour atteindre son intimité. Je pose le vibro entre les lèvres encore toutes mouillées de la pénétration du facteur, Cathy gémit à ce contact. Je lui tiens la vulve écartée entre deux doigts et passe l'objet sur ses chairs intimes, sur son petit bouton. Les vibrations semblent lui procurer un plaisir intense, surtout lorsque je passe sur le clitoris. Je le promène un moment comme cela puis doucement je l'entre à l'intérieur du vagin. Je la pénètre entièrement avec cet objet vibrant, Cathy ne bouge pas, les yeux fermés, un petit sourire aux lèvres, ronronnant comme une petite chatte. Au bout d'un moment de ce va-et-vient dans son sexe, sur ses lèvres, son clitoris, j'entends sa respiration s'accélérer puis elle me dit :

- Attends, viens, j'ai envie de ta queue !

Alors on se déshabille tous les deux, elle m'allonge sur le dos et vient se placer au-dessus de moi. Elle saisit ma queue déjà toute dure d'une main, écarte ses petites lèvres de l'autre et s'empale doucement dans un soupir. 

Ensuite elle commence à bouger en écartant bien les cuisses pour me faire profiter du spectacle. Je caresse sa toison et masse son clitoris du bout du pouce. Puis au bout d'un moment, je l'attire contre moi et c'est moi qui bouge en elle par-dessous. Je lui tiens les fesses écartées et j'en profite pour enfoncer mon index dans son anus. Elle me soupire à l'oreille : " oh oui ! ". Je bouge mon doigt à l'intérieur de son cul, puis je le sors et l'amène au bord de ses lèvres. Elle ouvre la bouche et suce ce doigt qui a le parfum de son anus. Elle dépose un peu de bave dessus et je retourne la déposer sur sa rondelle pour la lubrifier. En même temps j'étends ma main libre sur le lit pour attraper le vibromasseur qui doit traîner par-là. Je le trouve, le mets en route et viens le placer sur l'anus de Cathy. Je masse un moment la rondelle puis Cathy me chuchote à l'oreille : " vas-y ". Alors je pousse sur l'objet qui s'enfonce dans son cul en vibrant. C'est l'extase : je sens les vibrations sur ma bite à travers la membrane. Cathy me souffle à l'oreille : " oh ! Je t'aime ... je t'aime. " Et puis ses gémissements se font de plus en plus forts. Elle s'empale à fond sur ma queue pendant que je l'encule à toute force avec le vibro. Elle n'en peut plus et moi non plus. Une douce chaleur m'envahit, je sens Cathy qui se crispe et nous explosons tous deux notre jouissance en même temps.

Nous restons un moment sans bouger, elle toujours sur moi, ma queue se dégonflant dans son vagin. Je lui caresse la nuque, le dos, les fesses tendrement. Et puis on sonne.

J'enfile un peignoir à la hâte et vais voir à la porte : c'est le facteur qui revient de sa tournée.

- Vous vous êtes décidé à revenir ? C'est ma copine qui va être contente.

- Oui. Elle a l'air chaude votre copine.

- On peut même dire qu'elle a le feu au cul, mais on adore ça tous les deux. Surtout ne vous gênez pas.

Lorsque nous entrons dans la chambre le spectacle est saisissant : on se retrouve nez à nez, si je puis dire, avec le cul de Cathy qui est à genoux sur le lit, la tête sur l'oreiller, les fesses en l'air. Elle a sorti un autre gode du carton et se l'est enfilé dans le con. 

Maintenant elle nous regarde par derrière avec la chose plantée dans sa chatte :

- Oh ! Le facteur, c'est gentil d'être revenu.

Je laisse tomber mon peignoir et m'approche d'elle. Je retire le sexe de latex, qui sort du vagin avec un petit bruit mouillé et j'admire l'engin : c'est un " réaliste " noir énorme avec une paire de couilles et une ventouse. Il doit bien faire ses vingt, vingt-cinq centimètres de long pour cinq de large (gourmande !). Il est tout luisant de mouille et du sperme que j'ai envoyé tout à l'heure. Lubrifié à souhait. Je l'empoigne fermement par les couilles et le replonge entre les cuisses de Cathy qui l'accueille avec un petit cri. Le facteur me regarde ramoner la chatte de ma copine. Il s'est déshabillé et ne sait trop que faire. Je lui tends le vibromasseur et lui demande de s'occuper du petit trou. Cathy gémit en entendant cela. Elle cambre davantage ses reins, pose ses deux mains sur ses fesses, la tête toujours posée sur l'oreiller et s'écarte l'anus pour se préparer à la pénétration. Le facteur qui a remis l'appareil en route n'a plus qu'à pousser doucement pour le faire entrer totalement dans le cul. Cathy a fait : " oh ! ". Le facteur enfonce la vibration au plus profond de ses entrailles pendant que de mon côté j'accélère le mouvement. Je vais de plus en plus vite, sortant le gode presque entièrement et le renfonçant violemment. Les couilles viennent claquer le clitoris, le gland de latex va cogner au fond du vagin, les vibrations lui emplissent le cul. Je pilonne à toute force cette chatte insatiable. Cathy a relevé la tête. Son corps vacille au rythme de mon pilonnage, le facteur active toujours le vibro dans le rectum, poussant toujours plus loin. Cathy émet des : " oh ! oh ! " gutturaux en nous regardant, les yeux écarquillés. Puis je sens tous ses muscles se contracter et ma nana explose son plaisir dans un long cri. Alors j'arrête mon mouvement et je retire doucement le dildo. La chatte de Cathy est béante, distendue, ses poils sont trempés par la jouissance. Le facteur aussi a retiré l'engin, et Cathy s'est affalée sur le ventre.

Je vois la bite du facteur tendue à éclater. Je lui dis :

- Allez-y facteur, prenez-la.

Alors le facteur retourne ma Cathy sur le dos, écarte ses cuisses et se couche sur elle. Il entre son sexe dans la chatte encore ouverte et commence à la baiser tranquillement.

Cathy a fermé les yeux, la tête sur le côté. Elle soupire doucement au rythme des pénétrations. Je m'allonge à côté d'elle et la regarde un moment, puis j'approche de son visage et dépose un baiser sur ses lèvres. Cathy ouvre les yeux et me sourit : " oh, mon amour ... c'est si bon ", je l'embrasse à nouveau et lui réponds : " je t'aime ". Le facteur la baise doucement un long moment. Je le regarde faire. Et puis il s'agite un peu plus, donne des coups plus forts et commence à râler. Cathy enserre ses jambes autour de la taille du facteur et remonte son bassin pour accueillir au plus profond d'elle-même la semence du préposé. Le bonhomme envoie de longues giclées en émettant des petits bruits comiques : on dirait un puceau qui vient de découvrir l'amour. Cathy lui sourit pendant qu'il dépose au fond d'elle ses dernières gouttes de sperme.

Moi je réserve une petite surprise à ma Cathy chérie. Quand le facteur s'est retiré, je la retourne sur le ventre, écarte ses cuisses et promène mes doigts sur sa fente. Elle est gluante de mouille et de foutre. Puis je recommence à caresser son anus avec mes doigts ainsi lubrifiés:

- Tu veux m'enculer ?

- En quelque sorte.

J'enfonce deux doigts pour détendre le muscle qui s'est resserré depuis tout à l'heure, puis j'attrape le " réaliste " noir et le positionne sur l'anus. Ensuite je pousse fermement l'objet en tournant un peu pour l'aider à entrer. Le facteur m'aide en écartant les fesses au maximum. Le gland force l'anus, les cinq centimètres de large ont du mal à pénétrer. J'insiste doucement, le gland vient d'entrer :

- Aïe ! ... oh, il est gros ! Ça fait mal !

Cathy a resserré les jambes sous la douleur, mais le facteur lui tient toujours les fesses écartées. Je pousse encore, toujours en tournant pour aider à la pénétration. La moitié du gode est déjà entrée, Cathy crie toujours. Alors je pousse une dernière fois et les vingt-cinq centimètres pénètrent entièrement. Cathy pousse un dernier cri de douleur en tortillant son cul, le gode toujours fiché au fond d'elle. Puis j'entame les mouvements de va-et-vient dans son fondement. Cathy se détend. L'anus s'est élargi et la douleur commence à disparaître pour faire place au plaisir. Elle est étendue sur le ventre, immobile et se laisse faire. J'enfonce en tournant le sexe monstrueux jusqu'aux couilles puis je le sors d'un coup. A la place de la petite rondelle il y a un trou béant, tout rond, du diamètre exact du phallus artificiel. L'anus est complètement dilaté et on peut voir l'intérieur du rectum. Le facteur regarde médusé : " oh, putain ! " Puis tout doucement les muscles se resserrent et j'enfonce à nouveau le gode en entier. Je recommence ce petit jeu plusieurs fois, puis je laisse la place au facteur qui attendait son tour en bavant. Sa queue s'est redressée à ce spectacle, la mienne aussi d'ailleurs. Le facteur varie les plaisirs en introduisant alternativement dans la chatte et dans le cul. Cathy s'est totalement abandonnée à ces petits jeux. Elle pousse des petits cris à chaque pénétration et je l'entends qui murmure : " oh, vous me faites jouir ! "

Et puis la bite du facteur n'y tient plus. Il retire le gode du rectum, se place à cheval sur les fesses de Cathy et enfonce sa queue dans le trou béant. Cathy doit serrer le cul pour s'ajuster à la pine du préposé. Comme je ne veux pas être en reste, je viens à mon tour me positionner. Le facteur qui comprend la manœuvre s'avance au maximum pour me laisser la place derrière lui. Sa bite entre quasiment à la verticale dans le cul de Cathy et moi je peux maintenant pénétrer la chatte. Cathy gémit de plaisir. Elle a deux mecs sur les fesses qui lui entrent dedans. On la baise comme ça un long moment, doucement et puis le facteur lâche sa semence une dernière fois dans les intestins

-          Oh oui ! fait Cathy, fous-moi ton jus dans le cul.

Puis le facteur se retire, son sperme ressort par l'anus à chacune de mes poussées. Moi je ne tarde pas à venir. Je sors rapidement mon sexe prêt à gicler et je répands tout sur les fesses de ma bien-aimée qui se tortille de plaisir.

Le facteur prend la parole :

- C'est pas tout ça mais ma femme m'attend.

Puis il se rhabille et je le raccompagne à la porte :

- Au revoir m'sieur dame ! Merci pour tout !

- Au revoir facteur !

Une fois le facteur parti, je retourne à la chambre. Cathy s'est glissée sous les draps. Je la rejoins et elle se blottit dans mes bras. Elle me dit malicieuse :

- Il est sympa ce facteur.

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Ooohhh ! My gode !

Objectif : me lécher le clito en même temps !

5 fruits et légumes par jour !!!...

... et moi j'en ai déjà 2 d'un coup !

Chiche ? Jusqu'au bout ?

 

Quoi ? Qu'est-ce que vous regardez ?

Chérie ! T'aurais pas vu ma brosse à dents ?

Moi, j'ai appris à jouer comme ça... et je vous emmerde !

Putain ! ça va rentrer !

Tu veux me l'enlever et mettre ta bite à la place ?

2 - Promenade à la campagne.

Aujourd'hui c'est dimanche et nous décidons d'aller nous balader à la campagne. Un petit coup sous la douche et je commence à me raser, à poil comme à mon habitude. Au moment où je termine, Cathy entre dans la salle de bain à poil aussi, pour prendre sa douche.

- Et moi, tu veux me raser ?

Je la regarde étonné. Elle me chuchote malicieuse :

- Oui, rase-moi la minette ... j'ai envie que tu me rases la minette ... complètement.

Je trouve l'idée amusante et l'expérience tentante.

Cathy s'installe sur la baignoire, ouvre les cuisses et je l'enduis de mousse à raser. Elle rigole. J'attaque le rasage doucement, je fais attention de ne pas toucher les lèvres et j'entends sa respiration s'accélérer. Je me sens très excité aussi, l'impression de dénuder encore davantage cet objet du désir, de dévoiler plus encore l'intimité secrète. Je rase le pubis, entièrement. Lorsque j'ai terminé, Cathy va se rincer dans la baignoire et reprend sa pose sur le rebord en écartant bien les cuisses pour me faire admirer le résultat. Celui-ci est surprenant : Cathy est une petite nana d'à peine 1 m 50, plutôt frêle, des petits seins pointus et avec son pubis imberbe maintenant on dirait une petite fille. C'est très troublant et je ne peux empêcher mon sexe d'entrer en érection. Cathy s'en aperçoit et commence à se masturber en souriant. Je m'approche alors d'elle et je caresse du bout de ma queue ce sexe nouveau qui s'offre à moi. Alors Cathy prend ma queue et se caresse la chatte avec, pendant que je l'embrasse amoureusement. Elle se masse la vulve, presse le gland contre son clitoris en ronronnant de plaisir, enfin n'y tenant plus, elle s'enfonce elle-même le pieu pour que je la prenne là, sur le rebord de la baignoire.

Quelques instants plus tard nous sommes en voiture, direction la campagne. On ne sait pas trop où exactement. Le long d'un faubourg à la sortie de la ville il y a quelques auto-stoppeurs qui tentent leur chance comme souvent à cet endroit. Cathy me regarde avec un sourire malicieux, je sais ou elle veut en venir. Je m'arrête à la hauteur de deux mecs qui nous indiquent une destination. Après tout, là ou ailleurs, pourquoi pas. Les deux gars montent derrière. Et puis Cathy remarque un autre gars un peu plus loin, très grand. Le genre de mec à faire du basket. On l'appelle et Cathy lui laisse sa place à l'avant, rapport à sa taille, et va se placer derrière entre les deux autres.

En roulant, je regarde les deux mecs à l'arrière. L'un est blond, visage d'ange, l'autre est brun cheveux mi-longs, ils sont assez jeunes, je suppose qu'ils rentrent chez eux après avoir passé la nuit en ville. Le basketteur lui, me semble un peu plus âgé.

Quelques kilomètres plus loin je regarde à nouveau dans mon rétro et là, je vois que Cathy n'a pas perdu de temps. Elle a les jambes écartées, posées sur les genoux des mecs, avec une main sur chaque braguette. Les types ont l'air un peu gêné mais tout de même celui de gauche a une main dans le chemisier de Cathy et celui de droite caresse sa culotte sous la jupe. Je regarde Cathy dans le rétro, nous échangeons un sourire, le mec devant ne s'est encore aperçu de rien.

Un peu plus loin du bruit commence à se faire entendre de la banquette arrière. Je regarde à nouveau et je vois ma Cathy allongée sur le ventre sur les genoux du mec de droite, le brun, avec dans la bouche le sexe de l'autre, l'ange blond. Le brun lui a baissé sa culotte sous les fesses et caresse sa fente humide. Je regarde le tableau et ça commence à m'exciter.

Cathy tient le sexe de l'ange blond entre ses mains et promène sa langue sur son gland, le long de sa hampe et puis se le fourre entièrement dans la bouche. Elle a passé sa main droite sous les couilles et les masse doucement. Le mec a la bouche grande ouverte et les yeux au plafond.

Pendant qu'il regarde son copain se faire pomper, le brun promène son doigt dans la fente de Cathy. Elle est déjà toute mouillée. Il appuie un peu plus, écarte les lèvres et pousse son doigt à l'intérieur. Cathy se cambre immédiatement pour s'offrir davantage à cette intrusion. Le mec en profite pour entrer un deuxième doigt et il commence à fouiller profondément. Cathy ne peut s'empêcher d'exprimer son plaisir :

- Oh ! Oui, enfonce-moi tes doigts !

Là le basketteur se retourne d'un coup et découvre le tableau. Il me regarde sidéré et comme je lui souris en disant :

- vas-y, te gène pas

Il se met à genou sur son siège, dos au pare-brise et entre dans la danse.

Cathy est toujours allongée sur le ventre, les fesses à l'air, les doigts du brun dans la chatte et la queue du blondinet dans la bouche. Le basketteur commence à lui caresser les fesses puis il déboutonne son chemisier pour libérer les seins. Je sens mon sexe gonflé d'excitation. C'est la troisième fois que Cathy se donne à des étrangers devant moi et je dois dire que nous y prenons goût aussi bien elle que moi.

- Oh ! Les mecs, elle a pas de poils !

- Elle est complètement rasée !

Je regarde à nouveau dans le rétroviseur, Cathy est toute nue maintenant, souriante. Ils l'ont entièrement déshabillée. Elle est sur le dos, la tête sur les cuisses de l'ange blond qui lui tient la jambe droite en l'air, offrant à tous les regards l'entrecuisse rasé de ma copine. Trois mains se bousculent immédiatement pour toucher. Elles caressent, écartent les lèvres, touchent le clitoris, entrent au passage un doigt ou deux. Le basketteur de sa main droite, caresse les seins pince les tétons, Cathy est ravie. Toutes ses mains sur son corps. Elle gémit de plaisir.

- Viens, suce-moi !

C'est le brun qui vient de dire ça en déboutonnant sa braguette et en sortant son engin. Cathy se met à genou sur la banquette, son petit cul en l'air et se met à astiquer le dard. Elle lèche la verge, entoure le gland de ses lèvres et avale le membre entier en bavant dessus. Les fesses de Cathy sont très bien placées pour le blondinet. Il semble le plus jeune de tous et je ne suis pas sûr qu'il ait déjà eu une expérience sexuelle. Il ouvre la chatte de ses deux mains et se rince l'œil sans trop savoir quoi faire. C'est le basketteur qui lui dit :

- Vas-y, lèche-la !

Le gamin s'exécute et approche timidement sa langue de ce sexe féminin qui s'offre à lui. Cathy gémit à ce contact sans lâcher la bite qu'elle est en train de sucer. Elle passe sa main droite sous son ventre et s'écarte la minette pour s'offrir davantage à la langue. Le petit ange lèche à grands coups vulve et clitoris.

J'entends derrière moi ma copine qui ronronne de plaisir et ça m'excite terriblement. Ma queue commence à me faire mal, alors j'ouvre ma braguette et je la sors.

Le basketteur a de grands bras et il en profite. Sa main gauche tripote les seins, titille les tétons déjà très durs et sa main droite caresse les fesses et les reins de Cathy. Puis il ramène sa main droite et se suce le majeur qu'il enduit de salive, ensuite, sans aucune préparation il enfonce ce doigt dans l'anus de Cathy qui pousse un petit cri de surprise. Le mec enfile son doigt jusqu'au bout et le fait bouger à l'intérieur, puis il le retire, remet de la salive et cette fois enfonce deux doigts entiers. Cathy repousse un cri, lâche la bite qu'elle suçait et regarde dans les yeux ce mec qui lui fouille l'anus. Pendant ce temps le blondinet s'est arrêté de lécher. Enhardi par la scène qui se passe sous son nez, il se lèche deux doigts et les fourre au chaud dans la minette déjà toute trempée. Deux doigts d'abord, puis trois qui inspectent l'antre chaud, et puis un quatrième. C'est la main presque entière que le gamin enfonce dans la chatte de Cathy pendant que le basketteur lui fouille l'anus de ses deux doigts en pinçant son téton gauche. Cathy ne l'a pas quitté des yeux, cambrée à l'extrême, impudique, elle lui ronronne son plaisir au visage. Et puis le gamin blond ne se retient plus. Il mouille l'index de sa main libre et se force un passage dans le trou du cul, entre les deux doigts du basketteur. Cathy hurle. Ces mecs sont en train de lui écarteler les trous et elle aime ça. Le brun, lui, regarde la scène éberlué. Il se tripote le gland d'une main en pinçant le téton droit de Cathy de l'autre.

Moi je n'en peux plus. J'entends ma nana hurler de plaisir et ma queue va bientôt éclater.

- Ah ! ... Ah ! ... oui ... continuez comme ça ... vous me faites jouir ... ah ! ... Fouillez-moi ... fouillez-moi bien les trous à fond ... ah ! ... écartez-moi ... écartez-moi bien bande de salauds ! ... Ah ! ... Ça y'est, c'est bon !

J'entends le klaxon du poids-lourd que je viens de doubler : le type doit voir la scène par la lunette arrière.

- Viens par ici que je te baise !

Le brun vient de parler. Il empoigne Cathy et la fait mettre à plat ventre sur la banquette puis s'allonge sur elle. La position n'est pas très confortable vue l'exiguïté du lieu mais il arrive tout de même à se placer, écarte les cuisses de Cathy, entre son membre dur dans la chatte maintenant dilatée et commence à la baiser doucement. Cathy gémit à nouveau son plaisir, elle a la tête sur les cuisses du blondinet et elle en profite pour reprendre sa bite dans sa bouche. Le basketteur, lui, n’a plus rien à faire et il contemple simplement le tableau, les bras croisés sur le dossier de son siège.

Moi je ne tiens plus. J’entends ma copine se faire baiser derrière moi et j’aimerais bien participer. En plus j’ai du mal à me concentrer sur la route et ça commence à devenir dangereux. J’avise au loin un chemin de terre qui part sur la droite. Je m’y engage et m’éloigne de la route. Au bout d’un moment le chemin se termine au bord d'un pré entouré de bosquets. Ça semble être l'endroit idéal. J'arrête la voiture et tout le monde descend, Cathy complètement nue bien entendu. On entre dans le pré et on court vers un endroit plus reculé au fond du parc. Les tétons de Cathy sautillent au rythme de sa course. Arrivés sur place elle me saute au cou et me roule une pelle fougueuse. Je commence enfin à profiter un peu de ma nana. Je glisse une main entre ses jambes et je caresse sa chatte lisse comme une peau de bébé. Il faudra que je m'y habitue. Elle est trempée de désir et de sa jouissance dans la voiture. Cathy me chuchote à l'oreille : " prends-moi ". Puis elle s'allonge sur l'herbe, les cuisses bien écartées, exhibant fièrement sa minette rasée, attendant que je la prenne. 

Moi je prends le temps de me déshabiller, puis je me place sur elle et j'enfonce enfin mon dard dans sa chatte brûlante.

- Oh ! mon amour ... j'aime ta queue ...

Les autres sont debout autour de nous et nous regardent baiser sans rien oser faire.

Cathy pousse des petits cris au rythme de mes pénétrations. J'aime bien ces petits cris. On dirait ceux d'un petit animal craintif. Je la baise comme ça un moment, les autres ont décidé de se déshabiller. Je la baise encore un peu et puis je fais signe au blondinet d'approcher. Je sors du con à regret et je tiens les lèvres bien écartées entre le pouce et l'index pour que le gamin entre facilement. Cathy lui ouvre bien ses cuisses et je vois la pine entrer dans le con de ma nana. Il s'allonge sur elle et commence à la baiser en respirant fort. Cathy lui gémit dans l'oreille en caressant son dos. Au bout d'un moment le brun tape sur l'épaule de son copain, il veut prendre sa place. Le blondinet se dégage et son pote prend Cathy par le bassin, la retourne pour la prendre en levrette et enfile sa bite à son tour. Cathy a posé sa tête par terre et elle se laisse aller au plaisir en gémissant. Elle a les fesses en l'air, elle est offerte à ces quatre bites qui la prennent à tour de rôle. Puis c'est au tour du basketteur. En le voyant s'approcher je reste bouche bée : le type a une queue proportionnelle à sa taille, au moins trente centimètres de long. Je sais que ce n'est pas toujours le cas mais pour lui la nature a respecté les proportions. Au moment où il la pénètre jusqu'au fond, Cathy pousse un " oh ! " de surprise. Elle se retourne pour voir ce géant qui entre en elle et lui adresse un regard gourmand. Le type l'embroche à toute force. 

L'image est saisissante : Cathy si petite, si frêle, besognée par ce malabar. On dirait un doberman en train de baiser un caniche.

Cathy a mis sa main sur sa bouche pour ne pas crier. Elle ne veut pas rameuter tous les environs. Alors elle crie dans sa main. Elle sent le gland lui ramoner tout le vagin et le type n'y va pas de bite morte si je puis dire. Tout le monde s'approche : on veut tous participer. Je passe ma main sous le ventre de Cathy et lui masse le clitoris. Le brun attrape les tétons et les fait tourner entre ses doigts. Le petit ange, lui, enfonce deux doigts dans le trou du cul et les fait tourner à l'intérieur. On dirait que le petit commence à se dévergonder.

- Oh ! Oui ... oh ! c'est bon ... c'est bon ... faites-moi jouir ... c'est si bon ...

Tout le monde s'active. Je vois Cathy les larmes aux yeux, ses joues sont rouges, son dos aussi, elle murmure dans un râle : " oui "... elle jouit.

Alors le brun saute sur le basketteur et l'enlève de force. On dirait qu'il a une envie pressante. Le type enfourne sa bite et ses yeux s'allument aussitôt. Il recommence à besogner. Moi je me glisse sous la tête de Cathy pour quelle me suce en même temps, mais au lieu de ça, elle s'avance sur moi, se défaisant ainsi du brun qui la bourrait, et elle s'installe sur mon ventre, entrant elle-même ma bite dans son con. Elle commence à bouger doucement en m'embrassant. Mais le brun ne veut pas en rester là. Il se rapproche du cul de Cathy humecte son anus déjà bien dilaté et présente son gland à l'entrée. Cathy n'a jamais pratiqué la double pénétration, mais elle me regarde dans les yeux et dit au mec : " vas-y, mets-la-moi dans le cul ". Alors le mec pousse fort, perfore l'anus et je sens sa bite contre la mienne dans les entrailles de ma copine. Cathy a poussé un " ouf ! " d'étonnement et puis elle a plaqué sa bouche sur la mienne pour ne pas hurler. Nous la prenons comme ça chacun dans un trou pendant un moment, les deux autres observent de derrière, se penchent pour mieux voir le cul de ma nana pris par deux bites. 

 J'ai relevé la tête de Cathy et je la regarde gémir de plaisir, les yeux brillants, elle me chuchote : " bouge, mon amour, bouge. " J'écarte ses fesses pour que la bite qu'elle a dans le cul lui entre bien à fond.

- Tu aimes ça ? Je lui demande.

- Oh ! Oui, c'est bon ... et toi tu aimes me voir baisée par d'autres mecs ?

- J'adore, t'es une petite vicieuse.

- Toi aussi t'es un petit vicieux ... oh ! Je sens vos deux bites en moi, c'est bon, mon chéri, c'est bon.

Je l'embrasse à pleine bouche, ma langue autour de la sienne, je ferme les yeux et m'abandonne à mon plaisir.

Et tout à coup toute ma Cathy s'arrache de moi. J'ouvre les yeux et je vois le basketteur en train de la soulever de terre. Cathy s'est accrochée à son cou et passe ses jambes autour de sa taille. Le type la descend sur sa bite et la tient par les fesses. 

 J'ai l'impression qu'il va se mettre à courir dans le pré avec ma nana empalée sur son pieu. Mais non, il se contente de se l'enfiler à grands coups sur le dard. Cathy se laisse aller en gémissant. Sa chatte est trempée, sa vulve est rougie par tant de pénétrations, son clitoris est gonflé de plaisir, il frotte maintenant sur le bas-ventre du basketteur et ça lui procure d'agréables sensations. Et puis elle sent à nouveau une bite se présenter à son cul. C'est le blondinet qui profite des leçons. Elle s'enduit l'anus de sa salive en se massant la rondelle, prend la bite du petit ange et la place bien à l'entrée, puis elle pousse sur son anus pour l'aider à rentrer. Quand elle sent la jeune verge lui fouiller le rectum, Cathy pousse un gémissement de plaisir. Elle a de nouveau une bite dans la chatte (et quelle bite !) et une dans le cul. 

 Je regarde un moment ma Cathy se faire empaler sur ces deux bites et puis j'entends le basketteur qui lui dit :

- J'ai envie de t'enculer.

- Oh ! non, pas toi

- il faut que je t'encule

Alors il la pose assise dans l'herbe. Je m'assieds derrière elle, l'allonge sur ma cuisse et lui prends les jambes pour bien les écarter en tirant vers moi pour lever le bassin. Elle me supplie doucement : " non, non, pas lui ". " Chut, ça va aller ". Le basketteur se crache dans les doigts, s'enduit le gland, puis il introduit deux doigts dans l'anus pour bien l'ouvrir et se présente à l'entrée. Cathy respire très fort. J'écarte bien ses cuisses, je regarde le mec : " vas-y, elle est prête " et le type commence à entrer. Cathy le regarde dans les yeux en gémissant, le type pousse encore et entre tout, d'un coup sec. Cathy sursaute, je la tiens bien ferme. Je vois cette bite démesurée entrer dans le cul de ma nana. Cathy reste bouche bée, les yeux écarquillés, elle sent le gland lui fouiller les intestins. Alors l'autre s'accroche à ses cuisses et commence à lui ramoner le fondement. J'ai lâché les jambes de Cathy et je lui caresse les seins en titillant ses tétons, les yeux toujours fixés sur cette queue qui lui perfore l'anus. Le mec bourre toujours, sa queue disparaît tout entière dans le trou du cul. Le blondinet s'est approché et fouille maintenant la chatte à trois doigts. Décidément ce gamin apprend vite. Cathy a renversé sa tête en arrière en râlant, la bite doit lui remuer les entrailles, je lui caresse les cheveux tendrement. Le brun reste debout et nous regarde en répétant :

- Oh ! Putain ... oh ! Putain, comme il l'encule.

Cathy n'en peut plus, cette bite va lui déchirer les entrailles, ces doigts dans sa chatte la rendent folle, je presse son clitoris, elle crie, elle s'ouvre, elle se donne à cette bite qui la perfore, à ces doigts qui la fouille, sa tête tourne, elle jouit dans un cri.

- Mais qu'est-ce qui se passe ici ?

Tout le monde sursaute et on voit s'approcher deux types en bleu de travail. L'un est assez âgé, sa main est armée d'une énorme clé à molette qu'il brandit, l'autre est plus jeune et semble être son fils. Ce sont les paysans à qui appartient le champ.

- Oh ! Regarde-moi ça la salope ce qu'ils sont en train de lui faire !

- Eh ! On en veut bien nous aussi !

- viens par ici cocote

Ils empoignent Cathy et la mettent à quatre pattes, nous on regarde médusés.

- vas-y fiston déchire-lui la moule

Le fiston se met en position, ouvre sa braguette et sort sa queue. Celle-ci n'est pas très longue mais plutôt très épaisse. Il roule un gland impressionnant sur la vulve déjà trempée et entre tout, d'un grand coup de rein. Cathy pousse un cri de douleur. Pendant que le fiston laboure la chatte, le père semble avoir une idée lumineuse. Il retourne la clé à molette et enfonce le manche tout droit dans le trou du cul. Cathy hurle. Elle sent l'acier dur et froid entrer dans ses fesses et se mettre à remuer dans ses chairs. Elle sent la bite du fils l'élargir jusqu'à la déchirure. Elle pousse sur tous ses trous pour les agrandir au maximum. Le fils donne de grands coups de reins, le père tourne la clé dans son cul, et ça dure pendant d'interminables minutes. Nous on est autour et on contemple la scène en se masturbant. Cathy hurle, gémit, hurle, elle n'en peut plus. Elle vient de jouir une nouvelle fois. Elle se laisse tomber au sol se dégageant du père et du fils, s'allonge sur le dos et nous dit :

- Maintenant je veux votre sperme.

Elle écarte les cuisses pour bien nous montrer sa minette toute nue, se caresse la fente, le clitoris, se rentre deux doigts dans la chatte pour nous exciter, puis elle attrape la clé à molette des mains du vieux et se l'enfonce elle-même dans le cul en la faisant tourner doucement.

Nous on se met tous les six autour d'elle, à genoux, et on commence à se branler au-dessus de son corps.

C'est le blondinet qui gicle le premier, il arrose les seins de jets puissants. Le vieux coule aussi sur les seins. Son fiston arrose le ventre, le brun aussi de l'autre côté. Moi je suis face à Cathy entre ses jambes et j'envoie tout sur son pubis. Le basketteur arrive le dernier, il arrose la figure de longs jets interminables.

Ma Cathy est pleine de foutre. C'est la première fois de sa vie qu'elle prend une douche de sperme et je crois qu'elle y prend goût.

Elle retire maintenant la clé à molette de ses fesses et plonge les mains dans tout ce sperme chaud. On entend des petits clapotis. Elle se l'étale sur tout le corps, doucement, les yeux fermés, un beau sourire sur le visage. Longtemps elle se caresse tout le corps avec notre liqueur. Longtemps on la regarde faire sans oser bouger.

Le soir dans notre lit, je viens d'éteindre la lumière. Je prends ma Cathy dans mes bras et je l'embrasse tendrement. Elle me chuchote au creux de l'oreille : " j'ai mal au cul ".

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Gauge

Mon actrice porno (américaine) préférée

 Elle a un corps superbe

 Un petit minois d'ado perverse

 De beaux seins naturels (je déteste les seins siliconés !)

Un cul parfait

Une chatte gourmande

Son tatouage

 Et elle baise !...

 ... elle baise !...

 ... elle baise !!!...

... à plusieurs...

... et dans toutes les positions !...